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LES RUINES DE PARIS

les deux lettres qui composent la deuxième ligne sont illisibles, et il n’y a place que pour une seule lettre à la fin de la troisième ligne.

Je tiens à le déclarer ici. Dans les conférences employées à chercher le sens de cette énigme numismatique, M. Paul Brun émit le premier l’idée que nous avions peut-être entre les mains un spécimen de la médaille militaire instituée par un des derniers Poléons de la France[1]. Je rappelai à mon tour que l’on employait alors fréquemment le latin dans les inscriptions. Ce fut un trait de lumière, et M. Louis Lévis s’écria aussitôt : Il faut lire :

  1. Voy. Les Pharaons, les Sésostris et les Poléons, rapprochements historiques, p. 209.