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à sa parfaite obligeance nous avons évité bien des erreurs et lui sommes redevable de maintes corrections. Nous tenons encore à remercier M. le docteur P. Dor- veaux, l'érudit bibliothécaire de l'École de Pharmacie, des précieux renseignements qu'il nous a fournis sur certains noms anciens de plantes et de médicaments, ainsi que M. Omont, conservateur du département des manuscrits à la BibliothèqueNationale et M. Henri Martin, administrateur de la Bibliothèque de l'Arsenal, dont la bienveillance et les conseils éclairés ont facilité notre tâche. ROGER PÉPIN.