Page:Ackermann - Contes et Poésies, 1863.djvu/254

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

Échappe à cet enfant des Dieux.
 
A mêler donc pour plus de charme
Tous les tons il faut renoncer.
Pourtant, voisine d’une larme,
Ma gaieté raillait sans blesser.
Oui, mon rire et les pleurs sont frères,
Et mes rimes les plus légères
Laissent un bout du cœur passer.


Nice, mai 1861.