RÊTEZ-NOUS donc désormais toute votre attention.
Maintenant que la force qui domine sur
nos corps a été distribuée en cinq dominations
(principatus, ), à la puissance desquelles
nos corps sont soumis et par lesquelles ils éprouvent
leurs maladies savoir l’entité astrale, l’entité vénéneuse, l’entité naturelle, l’entité spirituelle, l’entité et l’entité divine ; dans ce même ordre vont suivre
les cinq traités de cette parenthèse ; savoir : pour quelle
raison l’entité astrale possède une puissance sur
le corps de l’homme, de telle sorte qu’elle l’affaiblit ou
le détruit, et ainsi de suite pour les autres Entités.
Avant de commencer cette parenthèse, je veux que
l’on sache que nous avons fait usage, en écrivant, du
style des gentils ou des Païens, bien que nous soyons
nés de l’homme chrétien. La cause pour laquelle nous
agissons ainsi est la FOI. Car si nous avions écrit en
tant que Chrétien, alors il aurait fallu omettre les quatre
Entités suivantes : Astrale, Vénéneuse, Naturelle
et Spirituelle, et nous n’aurions pu les décrire. Car
ceci n’est pas du style chrétien, mais payen. Mais la
dernière entités est vraiment de style chrétien ; c’est
par elle que nous concluons. Mais ce style des gentils
dont nous faisons usage dans la description des quatre
entités n’entachera nullement notre foi ; il ne fera
qu’aiguiser notre esprit. C’est pourquoi nous l’appelons
style de la gentilité, parce qu’il s’éloigne de la
foi du Christ ; et cependant nous en faisons profession
ouvertement avec vous tous qui, Chrétiens de