ments et autres semblables[1]). Car, si la maladie doit être nommée, il est bon qu’elle soit nommée de ce qui engendre la maladie. C’est pourquoi l’ordre a été gardé dans chaque chapitre, où il est traité de quelque maladie, bien que ce livre ne suive pas celui-ci. Car ces livres demeurent dans leur Théorie et Physique ; autrement leurs pratiques sont exposées dans leurs livres spéciaux.
ensuite il n’est pas moins exact que, outre toutes
ces choses, il existe encore un autre genre de
maladies. Deux de celles-ci sontrapportéesen ce chapitre.
L’une vient de la Semence du Sperme (ex semine
spermatis, ), l’autre
de la Forme Spécifique. Lesquelles doivent être
très spécialement et attentivement examinées, afin
qu’elles soient distinguées bien exactement des autres
maladies. 11 est connu de vous comment toutes choses
consistent, comme nous l’avons dit, en ces trois choses
ou substances premières. Or, en ces choses existe
un certain autre accident particulier, qui ne se rapporte
pas à celles dont nous avons traité jusqu’ici. C’est le
suivant, savoir ; qu’il existe certaines choses qui excitent
la sueur, d’autres qui relâchent, d’autres qui brûlent,
et autres choses semblables. Toutes ces choses
doivent être soigneusement considérées. Car elles
- ↑ Le premier traducteur latin dit : qui, non seulement contiennent les symptômes externes ou, par hasard, contingents, mais même les Éléments, et plusieurs de leur genre.