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votre mere ; & c’eſt fini. Seulement elle me dit qu’elle s’ennuie de ne me pas voir davantage ; mais je lui réponds : C’eſt la faute de Maman ; pardonnez-moi, ſi je ne m’ennuie pas d’être avec elle ; & c’eſt fini.
La Mere.
Je ſuis fort contente de votre bonne. Elle a tout le zele qu’il faut, & elle n’en a pas plus que je n’en déſire.
Emilie.
Et moi auſſi j’en ſuis fort contente. Toutes les bonnes, au moins en ce pays-ci, ne peuvent pas reſſembler à celle de Mademoiſelle de Perſeuil… Mais à propos, Maman ; j’allais oublier le plus eſſentiel. J’ai lu hier une belle hiſtoire dans ce livre que vous m’avez prété. J’étais venue ce matin pour vous en parler ; mais quand je vous ai vu ſoufrante… Oh, tenez, ne penſons plus à cela. Parlons de