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» je permettais de me rendre, devait
être la seule récompense de
mon adorateur. Cette idée me
plut à mon tour, et je me prêtai
à tout ce qu’on voulut. Je m’en
trouvai bien : mon amant me tint
parole. Il m’amusait soigneusement,
et réussissait à merveille.
Sans cesse brûlant de desirs, puisque
la jouissance ne les éteignait
jamais, ses caresses étaient toujours
vives, passionnées. Dans
ces derniers momens si précieux
pour nous, où si souvent un amant
s’occupe nonchalamment de nos
plaisirs, mon joli ami était encore
aussi ardent, aussi caressant qu’en
commençant le doux exercice. —
Tu étais alors dans la même position
où tu te trouverais, si tu
cherchais le plaisir dans les bras
d’une tendre amie. L’impossibilité