Livre:Les poésies de Stéphane Mallarmé.djvu

Titre	Les poésies de Stéphane Mallarmé
Auteur	Stéphane Mallarmé
Maison d’édition	la Revue indépendante
Lieu d’édition	Paris
Année d’édition	1887
Bibliothèque	Bibliothèque nationale de France
Fac-similés	djvu
Avancement	À corriger

Pages

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1^er cahier — Premiers poëmes

• le Guignon
• Apparition
• Placet futile
• le Pitre Châtié

2^e cahier — Le Parnasse satirique

• « Une négresse par le démon secouée »

3^e cahier — Le premier Parnasse contemporain

• les Fenêtres
• les Fleurs
• Renouveau
• Angoisse
• « Las de l’amer repos où ma paresse offense »
• le Sonneur
• Tristesse d’Été
• l’Azur
• Brise Marine
• Soupir
• Aumône

4^e cahier — Autres poëmes

• Éventail
• Sainte
• Don du Poëme

5^e cahier — Hérodiade

• Hérodiade

6^e cahier — L’Après-midi d’un faune

• l’Après-midi d’un Faune

7^e cahier — Toast funèbre

• « Ô de notre bonheur, toi, le fatal emblême ! »

8^e cahier — Prose pour des Esseintes

• Prose / (pour des Esseintes)

9^e cahier — Derniers sonnets

• I « Le vierge, le vivace et le bel aujourd’hui »
• II « Quand l’ombre menaça de la fatale loi »
• III « Victorieusement fui le suicide beau »
• IV « Ses purs ongles très haut dédiant leur onyx »
• Hommage V « Tel qu’en lui-même enfin l’éternité le change »
• Hommage VI « Le silence déjà funèbre d’une moire »
• VII « Mes bouquins refermés sur le nom de Paphos »
• VIII « Quelle soie aux baumes de temps »
• IX Suite de Sonnets 1 « Tout Orgueil fume-t-il du soir »
• X 2 « Surgi de la croupe et du bond »
• XI 3 « Une dentelle s’abolit »
• XII « M’introduire dans ton histoire »