Livre:Les Œuvres spirituelles du Bienheureux Jean de la Croix, 1834, tome 1.djvu

TitreLes Œuvres spirituelles du Bienheureux Jean de la Croix
Volume1
AuteurJean de la Croix Voir l'entité sur Wikidata
TraducteurJean Maillard Voir l'entité sur Wikidata
ÉditeurGuillaume François Berthier Voir l'entité sur Wikidata
Année d’édition1834
BibliothèqueHathi Cat
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SérieTome 1 - Tome 2 - Tome 3

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inclus

Épître dédicatoire.
Page 5
Préface de l’Éditeur.
Avertissement du Traducteur.
Approbations.
Les Éloges du bienheureux Jean de la Croix.
La montée du mont-carmel. Argument.

Lettres du P. Berthier sur les œuvres de Saint Jean de
la Croix.

Lettre I. Idée générale des Œuvres spirituelles de S. Jean de la Croix.
Lettre II. Analyse des trois livres de la montée du carmel. Principes fondamentaux de la doctrine spirituelle de saint Jean de la Croix.
Lettre III. Excellente Doctrine de S. Jean sur le tout de Dieu opposé au néant des créatures.
Lettre IV. Des différentes nuits où il faut entrer pour s’unir intimement à Dieu, etde la nuit des sens.
Lettre V. De la Nuit de l’esprit ou de l’entendement.
Lettre VI. De la Nuit de la mémoire.
Lettre VII. De la Nuit de la volonté.
Lettre VIII. Analyse du traité de la nuit obscure de l’âme.
Lettre IX. Sur la vive flamme d’amour, et sur les cantiques spirituels de S. Jean de la Croix.
Lettre X. Combien la doctrine de Saint Jean de la Croix est éloignée de celle des faux mystiques.
Lettre XI. Suite du même sujet.
Remarques sur le tout de Saint Jean de la Croix.
Sur les Images, selon la doctrine de S. Jean de la Croix.
Préface.
LIVRE PREMIER.
Chapitre I. On apporte la différence des Nuits par lesquelles les personnes spirituelles passent selon la partie supérieure et selon la partie inférieure de l’homme, et on explique le premier Cantique.
Chap. II. On enseigne ce que c’est que la Nuit obscure, par où l’ame dit qu’elle a passé pour aller à l’union de Dieu, et on en apporte les causes.
Chap. III. On parle de la première cause de cette Nuit, savoir : de la privation que les passions souffrent.
Chap. IV. Combien il est nécessaire à tante de passer tout de bon par la Nuit obscure des sens, qui est la mortification des passions, afin qu’elle puisse aller à l’union de Dieu.
Chap. V. On continue à montrer par des autorités et des figures tirées de l’Écriture-Sainte, combien il est nécessaire que l'ame tende à Dieu par la Nuit obscure de la mortification des passions.
Chap. VI. Les passions apportent à l’ame deux dommages, l’un privatif, l’autre positif. On le prouve par plusieurs endroits de l’Écriture.
Chap. VII On montre, par plusieurs comparaisons et par plusieurs autorités, comment les passions affligent l’ame.
Chap. VIII. De quelle manière les passions obscurcissent l’ame. On le prouve par quelques comparaisons et par quelques autorités de l’Écriture.
Chap. IX. On établit, par des comparaisons et par des passages de l’Écriture, comment les passions souillent l’ame. 
Chap. X. De quelle manière les passions affaiblissent l’ame dans la pratique des vertus. On le fait voir pas des comparaisons et par des témoignages de l’Écriture.
Chap. XI. Il est nécessaire que l’ame dompte jusqu’aux moindres passions, pour entrer dans l’union divine.
Chap. XII. On répond à la question qu’on fait, que les passions sont suffisantes pour causer à l’ame les dommages qu’on vient d’expliquer.
Chap. XIII. Quelques moyens pour entrer par la foi dans la nuit des sens.
Chap. XIV. Explication du second vers. Enflammée d’un amour inquiet.
Chap. XV. Déclaration des autres vers de ce cantique.

LIVRE SECOND.
Chapitre I. Éclaircissement de ce cantique.
Chap. II. On commence à traiter de la seconde partie, ou de la seconde cause de cette Nuit, qui est la foi ; et on prouve par deux raisons, qu’elle est plus obscure que la première et la troisième partie de cette Nuit.
Chap. III. De quelle manière la foi est une nuit obscure à lame. On le prouve par la raison et par l’autorité de l’Écriture.
Chap. IV. L’ame doit demeurer dans l’obscurité autant qu’il lui est possible, afin que la foi la puisse conduire à une très-éminente contemplation.
Chap. V. Ce que c’est que l’union de l’âme avec Dieu ; sur quoi on apporte une similitude.
Chap. VI. Les trois vertus théologales doivent perfectionner les trois puissances de l’ame. De quelle manière ces trois vertus les privent de toutes choses et les réduisent dans l’obscurité. On explique deux passages de l’Écriture, l’un de S. Luc, l’autre d’Isaïe.
Chap. VII. Combien le chemin qui conduit à la vie est étroit, et combien il faut être libre et dégagé de toutes choses pour y marcher. On commence aussi à parler de la nudité de l’entendement.
Chap. VIII. Ni les créatures ni les connaissances de l’esprit humain ne peuvent être un moyen prochain pour s’unir à Dieu. 

Chap. IX. De quelle manière la foi est à l’entendement moyen prochain et proportionné pour élever l’ame à l’union divine. On apporte quelques passages et quelques figures de l’Écriture pour prouver cette vérité.
Chap. X. La distinction des diverses connaissances qui peuvent venir dans l’esprit.
Chap. XI. De la perte et des obstacles que les connaissances de l’esprit peuvent causer a l’ame par les objets qui sont présentés surnaturellement aux sens extérieurs, et de quelle manière l’ame s’y doit comporter.
Chap. XII. On traite des représentations imaginaires et purement naturelles. On montre de quelle nature elles sont, et qu’elles ne peuvent être un moyen proportionné pour arriver « l’union de Dieu, et combien elles nuisent à l’ame lorsque l’ame ne s’en détache pas.
Chap. XIII. On propose les signes que l’homme spirituel peut remarquer en lui-même, pour commencer à renoncer aux représentations imaginaires et aux discours dans la méditation.
Chap. XIV. On apporte les raisons qui prouvent la nécessite d’avoir ces trois signes pour faire de plus grands progrès en la vie spirituelle.
Chap. XV. Il est quelquefois expédient à ceux qui avancent en l’oraison y et qui commencent a entrer dans la contemplation, de se servir du discours et des opérations de leurs puissances naturelles.

Chap. XVI. Les représentations imaginaires que Dieu opère surnaturellement dans la fantaisie ne peuvent servir, comme moyen prochain, à l’âme pour arriver à l’union divine.
Chap. XVII. Pour satisfaire à la difficulté proposée, on déclare la fin que Dieu regarde, et la manière dont il se sert pour verser dans l’âme, par les sens, ses biens spirituels.
Chap. XVIII. Des dommages que les maîtres de la vie spirituelle peuvent causer aux âmes, quand ils ne les dirigent pas bien pendant qu’elles reçoivent ces visions imaginaires ; et comment ces représentations, quoiqu’elles viennent de Dieu y peuvent jeter ces âmes dans l’erreur.
Chap. XIX. On montre, par des autorités de l’Écriture, que les révélations et les paroles intérieures de Dieu, quoique véritables, nous peuvent être occasion de surprise.
Chap. XX. On apporte des passages de la Sainte-Ecriture pour nous convaincre que tes paroles et les prophéties de Dieu, et quoique véritables en elles-mêmes, ne sont pas toujours certaines en leurs causes.
Chap. XXI. Quoique Dieu réponde quelquefois aux demandes qu’on lui fait, et use avec nous d’une grande condescendance, néanmoins cette manière d’agir lui déplaît, et il s’en met en colère.
Chap. XXII. Pourquoi il n’est pas permis, dans la Loi de grâce, de demander quelque chose à Dieu par des voies surnaturelles comme on le pouvait faire légitimement dans la Loi ancienne. Cette question, qui n’est pas désagréable, contribue à la connaissance des mystères de notre sainte Foi, et on prouve cette vérité par un passage de saint Paul, qu’on explique par rapport à ce sujet.

Chap. XXIII. On commence à parler des connaissances intellectuelles qui appartiennent purement à la voie de l’esprit, et on les explique.
Chap. XXIV. De deux sortes de visions intellectuelles qui arrivent dans les voies surnaturelles.
Chap. XXV. Des révélations, de leur nature et de leur distinction. 
Chap. XXVI. Des connaissances intellectuelles de la vérité toute nue, de leurs différences, et comment l’ame s’y doit comporter.
Chap. XXVII. Des secondes révélations, qui consistent à manifester les secrets et les mystères cachés. De quel usage elles sont pour aller à l’union divine ; de quelle manière elles peuvent l’empêcher, et comment le démon peut tromper l’ame en cette matière.
Chap. XXVIII. Des paroles intérieures qui sont présentées surnaturellement à l’esprit, et de leurs différences.
Chap. XXIX. On parle de la première espèce des paroles que l’esprit forme en lui-même dans son recueillement, et on apporte leur cause, leurs fruits et leurs dommages.

Chap. XXX. On traite des paroles intérieures qui sont formées surnaturellement dans l’esprit. On avertit l’ame des dommages qu’elles peuvent apporter, et on donne des instructions nécessaires pour n’y pas être trompé.
Chap. XXXI. Des paroles substantielles qui se forment intérieurement dans l’esprit ; de leur différence d’avec les paroles formelles ; de leur utilité ; de la résignation et de la révérence avec lesquelles l’ame s’y doit comporter.
Chap. XXXII. On parle des pensées que l’entendement reçoit des sentiments intérieurs qui sont imprimés surnaturellement dans l’ame. On apporte leur cause, et on donne à l’ame le moyen de se gouverner en ces communications, de peur de détruire la voie de l’union divine.
FIN DE LA TABLE DU TOME PREMIER.