Livre:Hugo - Œuvres inédites, v. 3.djvu

TitreŒuvres inédites Voir l'entité sur Wikidata
Sous-titreDeuxième édition
VolumeToute la Lyre II
AuteurVictor Hugo Voir l'entité sur Wikidata
Maison d’éditionHetzel ; Quantin
Lieu d’éditionParis
Année d’édition1888
BibliothèquePrinceton University
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SérieVolume 1 - Volume 2 - Volume 3 - Volume 4 - Volume 5 - Volume 6 - Volume 7 - Volume 8

Pages

V
Pages.
I. 
A Louis B 
 3
II. 
La France, ô mes enfants, reine aux tours fleuronnées 
 5
III. 
A une religieuse 
 7
IV. 
L’autre jour, ami cher, ami de vingt années 
 9
V. 
A Ol 
 13
VI. 
A un enfant 
 15
VII. 
J’ai mené parfois dure vie 
 23
VIII. 
Le sommet est désert, noir, farouche, inclément 
 27
IX. 
A deux ennemis amis 
 29
X. 
Delphine Gay de Girardin 
 33
XI. 
A l’heure où le soleil se couche 
 41
XII. 
A Jeanne 
 43
XIII. 
Envoi 
 45
XIV. 
Pygmée et myrmidon, c’est haine et calomnie 
 47
XV. 
Je la revois après vingt ans, l’île où Décembre 
 49
XVI. 
Je ne m’arrête pas, jamais je ne séjourne 
 53
XVII. 
Calomnié 
 55
XVIII. 
— Qu’es tu, pèlerin ? — Je me nomme 
 57
XIX. 
ave, dea ; moniturus te salutat 
 59
XX. 
Je travaille 
 61
XXI. 
Le bien germe parfois dans les ronces du mal 
 65
XXII. 
A Madame d’A.-Sh 
 67
XXIII. 
Échappé a l’erreur 
 71
XXIV. 
Après l’hiver 
 73
XXV. 
Le vieillard chaque jour dans plus d’ombre s’éveille 
 75
XXVI. 
Tu rentreras comme Voltaire 
 77
VI
I. 
Lorsque ma main frémit si la tienne l’effleure 
 81
II. 
Oh ! si vous existez, mon ange, mon génie 
 95
III. 
Vois-tu, mon ange, il faut accepter nos douleurs 
 87
IV. 
Vous m’avez éprouvé par toutes les épreuves 
 89
V. 
Sais-tu ce que Dieu dit à l’enfant qui va naître 
 91
VI. 
Certe, elle n’était pas femme et charmante en vain 
 93
VII. 
Roman en trois sonnets 
 95
VIII. 
Visions de lycéen 
 99
IX. 
Hermina 
 105
X. 
J’étais le songeur qui pense 
 107
XI. 
Mai 
 111
XII. 
La grecque et la parisienne 
 113
XIII. 
Elle vint que j’étais en train de lire Homère 
 115
XIV. 
Commencement d’une illusion 
 117
XV. 
Cela la désennuie ; elle vit toute seule 
 121
XVI. 
Ce que dit celle qui n’a pas parlé 
 123
XVII. 
La Figliola 
 127
XVIII. 
Amour secret 
 131
XIX. 
Oh ! dis, te souviens-tu de cet heureux dimanche 
 137
XX. 
Je suis naïf, toi cruelle 
 139
XXI. 
L’idylle de Floriane 
 141
XXII. 
Garde à jamais dans ta mémoire 
 151
XXIII. 
— Ah çà mais ! quelle idée as-tu, capricieuse 
 155
XXIV. 
A une immortelle 
 161
XXV. 
Horace, et toi, vieux La Fontaine 
 163
XXVI. 
A force de rêver et de voir dans la plaine 
 165
VII
I. 
La blanche Aminte 
 169
II. 
Le prince fainéant 
 177
III. 
Ce que Gemma pense d’Emma 
 173
IV. 
Vase de Chine 
 183
V. 
Mauvaises langues 
 185
VI. 
A un rat 
 189
VII. 
Danseuse, écoute-moi. Le Dieu du firmament 
 195
VIII. 
Le porche de Saint-Luc 
 197
IX. 
Quai de la Ferraille 
 199
X. 
Comédies injouables qui se jouent sans cesse 
 203
i. La marquise Antoinette 
 203
ii. Le premier chapitre 
 209
iii. Sous les saules 
 212
iv. Cocarde et Louchon 
 213
v. Au Luxembourg 
 215
vi. Le mendiant 
 219
vii. Giboulées 
 221
viii. Insinuation 
 225
XI. 
Chansons 
 227
i. Suzette et Suzon 
 227
ii. Rosemonde 
 231
iii. L’oiseau 
 233
iv. Le toréador 
 235
v. En canot 
 237
vi. La chanson du spectre 
 241
vii. Margot 
 254
viii. La chanson de Maglia 
 257
ix. Le château de l’Arbrelles 
 251
x. Chanson de Gavroche 
 255
xi. Autre chanson de Gavroche 
 257
LA CORDE D’AIRAIN
I. 
Écrit sur un exemplaire des chatiments 
 263
II. 
O sombre femme, un jour, n’ayant plus de royaume 
 267
III. 
A des régiments découragés 
 269
IV. 
Après Sedan 
 273
V. 
Destruction de la colonne 
 277
VI. 
L’orgie des meurtres 
 283
VII. 
Victoire de l’ordre 
 287
VIII. 
A un roi de troisième ordre 
 291
IX. 
Alsace et Lorraine 
 295
X. 
La libération du territoire 
 303
XI. 
Le lionceau songeait ; il était tout petit 
 315
XII. 
Un grand sabre serait d’utilité publique 
 317
XIII. 
Aux historiens 
 321
XIV. 
La question sociale 
 331
XV. 
O ses amis d’hier, pas d’aujourd’hui, qu’il trouve 
 335