Livre:Gasquet - Les Chants séculaires, 1903.djvu

TitreLes Chants Séculaires
AuteurJoachim Gasquet Voir l'entité sur Wikidata
Maison d’éditionSociété d’éditions littéraires et artistiques
Lieu d’éditionParis
Année d’édition1903 (2e éd.)
BibliothèqueInternet Archive
Fac-similésdjvu
AvancementÀ corriger

Pages

TABLE
PRÉFACE

Pages.

La Renaissance classique I

CHANTS SÉCULAIRES

L’arbre battu par les grands vents 5

LE MATIN

I Pour chanter de nouveau quelque immortel poëme 9

II Un poëme nouveau circule 13

III Nicolas Poussin 15

IV René Descartes 17

V Voici les jours dorés où les ruches essaiment 20

VI Les étoiles de la patrie 22

VII Premier matin 24

VIII Le poète offre son livre au Soleil 26

IX Prière du matin 30

X Là-bas, dans le matin levant 32

XI Le Chêne 33

XII A Delphique 37

XIII La chanson des pâtres se mêle 40

XIV Au rayon de soleil qui tombe sur ma table 41

XV Le dimanche d’Hans Sachs 44

XVI Et comme toi, Hans Sachs, le dimanche matin 48

XVII Le Laurier 51

XVIII Inspiration 53

XIX Nous nous sommes couchés si tard 56

XX Je veux laisser en moi parler les paysages 57

XXI Mais tu m’as dit : « Oh ! non, le bonheur n’est possible 59

XXII Rien n’imposera silence 61

XXIII Non, le poète, ô Dieu ! qu’au fond du soir écoute 64

XXIV Vie ardente ! Soleils nouveaux ! 68

XXV Le Temple 71

XXVI Nous entrons dans la grande vigne 74

XXVII Éveil 77

XXVIII Il naîtra de toi, Delphique 79

XXIX Dernier matin 82

XXX Chant dohé 85

MIDI

I Le Poëme 97

II Dans l’heure ardente rien ne vit. L’horreur lyrique 99

III L’amour foule d’un pied superbe 103

IV Mais Delphique m’a dit : « L’amour n’est pas semblable 105

V Le Poëme de l’Épouse 107

VI Romance 112

Pages.

VII Tu regardais la mer… Couché sur la falaise 114

VIII Dans le vent de la mer les plaines sont heureuses 116

IX Le Chant des Blés 119

X Chant séculaire 122

1 — Dans les batailles lyriques 122

2 Tu m’as donné la main, Femme, et je l’ai suivie 124

3 Je connais le bonheur tranquille des époux 125

4 Mon père a relevé la maison des ancêtres 126

5 Écoute-moi… Ce soir s’ouvre profond et pur 127

6 Sous le ciel gris les pins humides de la lande 128

7 Ferme tes livres… Rien de ce que tu m’as lu 129

8 Lorsque les amandiers en fleurs, comme un poëme 130

9 — Dans les rochers entr’ouverts 131

10 Lorsque l’enfant viendra ce sera dans un jour 132

11 Un fleuve de soleil coule devant la porte 133

12 Comme tu le voulais, nous avons vu la mer 134

13 O corps de l’homme, en toi le monde se modèle 136

14 Ah ! le monde est semblable à l’homme, m’as-tu dit 137

15 Aix s’endort chaque soir au pied de la Victoire 138

16 Emplis tes yeux du jour sacré de ce pays 139

17 — On disait la race morte 140

XI La Gloire de Marseille 142

XII Dans les bras de la mer dorée 146

XIII L’Apothéose 148

XIV Romance 151

XV Le Poëme de l’Époux 153

XVI Renaissance 158

XVII Lecture de la Bible 161

XVIII « Mater Natura » 164

XIX « O Maria, Ecclesia » 167

XX Chant héroïque pour la Bien-Aimée 169

LE COUCHANT

Pages.

I Le couchant 177

II Contemplation 180

III Dernier rayon 182

IV L’Hymne 184

V La Guérison 186

VI Hélène 188

VII Beauté d’Hélène 190

VIII Crépuscule 194

IX Diane de Poitiers 197

X Soir païen 199

1 O doux vents de ma solitude 199

2 Toute pensée est illusoire 200

3 Sous les arbres dorés la table d’or aussi 201

4 Le monde entier n’est qu’apparence 203

5 O mon corps, ô mes yeux, ma bouche 204

6 La nuit vient. Le lâche s’afflige 205

7 Nous partirons à l’aventure 206

8 Vénus le veut. Ne sois plus triste 208

9 J’ai chanté la chanson bacchique 208

XI Nocturne 211

XII A Louis A 214

XIII Vénus offerte 216

XIV Innocence 218

XV L’Invisible laurier 220

XVI Jaloux dans l’ombre 226

XVII Gustave Courbet 228

XVIII Le retour 230

XIX A Léo Larguier 232

Pages.

XX Soir mystique 235

1 Au fond de ma tiède cellule 235

2 Toi que j’ai fait à mon image 236

3 Dans le ciel triste et pur la Vierge a vu le soir 237

4 Inaltérable vérité 238

5 La douce enfant couchée au milieu des brebis 239

6 Vierge Marie, en qui j’espère 241

7 Tout dort dans le cloître fermé 242

XXI Le soir tombe. Là-bas, sur la plaine apaisée 243

XXII Ebauches 245

XXIII Sous les parfums, ce soir, tu luis comme un autel 249

XXIV L’Isolement 252

XXV Prière du soir 255

XXVI Méditation 261

XXVII A Pierre Laprade 265

XXVIII Don du Feu 267

XXIX L’Œuvre 269

XXX Chant filial 272