Livre:Bernard - Nouveaux principes d'hydraulique, 1787.djvu

TitreNouveaux principes d'hydraulique
AuteurPons-Joseph Bernard Voir l'entité sur Wikidata
Maison d’éditionDidot l'aîné
Lieu d’éditionParis
Année d’édition1787
BibliothèqueInternet Archive
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Discours historique et critique

Table des chapitres et des sections

Texte principal

Table des matières et errata

Planches et index

TABLE DES CHAPITRES ET DES SECTIONS


Chapitre i. Principes d’hydrostatique.
Première loi. Seconde loi. Fausse explication qu’on en donne ;
Troisième loi,
Quatrième, cinquième, sixième, septième, huitième loi,
Chapitre ii. Principes d’hydraulique.
Section i. Loix des vitesses de l’eau qui s’échappe d’un case cylindrique ou prismatique droit, entretenu constamment plein, par une ouverture quelconque pratiquée au fond,
Section II. Remarque I. Théorie de Newton,
Remarque II. Des théories de MM. Mac-Laurin, Bernoulli, etc.
Remarque III,
Remarque IV,
Remarque V,
Remarque VI,
Remarque VII,
Section III. Loix de l’écoulement de l’eau pour un vase cylindrique ou prismatique droit qui se vuide par un orifice quelconque pratiqué au fond,
Section IV. Autre manière dont on peut considérer l’écoulement de l’eau par des orifices percés au fond des vases prismatiques ou cylindriques droits,
Section V. Loix des vitesses de l’eau lorsqu’elle s’échappe d’un vase formé de deux autres vases prismatiques ou cylindriques droits, de diamètre inégal, joints l’un à l’autre et entretenus toujours pleins,
Section VI. Loix des vitesses de l’eau lorsqu’elle s’échappe d’un vase qui n’est ni cylindrique ni prismatique, par une ouverture quelconque pratiquée au fond, en supposant le vase entretenu constamment plein,
Section VII. Loix des vitesses de l’eau lorsqu’elle sort d’un vase prismatique ou cylindrique incliné,
Section VIII. Du mouvement de l’eau dans les tuyaux de conduite,
Section IX. Des jets d’eau,
Section X. Des jets inclinés,
Section XI. De la pression de l’eau dans l’état d’équilibre et de repos,
Section XII. De la pression de l’eau dans l’état de mouvement,
Section XIII. Loix de la vitesse de l’eau lorsqu’elle coule par de grandes ouvertures formées sur les faces verticales des vases, et examen de la théorie établie par les auteurs qui ont écrit sur ce sujet,
Remarque I,
Remarque II,
Remarque III,
Remarque IV,
Remarque V,
Remarque VI,
Remarque VII,
Section XIV. De la distribution des eaux,
Section XV. De l’épaisseur qu’on doit donner aux tuyaux pour qu’ils résistent à la pression de l’eau,
Section XVI. Loix de l’écoulement de l’eau qui sort librement par l’extrémité d’un canal horizontal,
Section XVII. Phénomènes principaux de l’écoulement de l’eau par des canaux horizontaux et inclinés,
Section XVIII. Du mouvement de l’eau dans des canaux horizontaux, ou peu inclinés, qui aboutissent à des réservoirs, et à l’extrémité desquels ce fluide ne tombe pas librement,
Section XIX. Du mouvement de l’eau dans des canaux avant que son cours y soit établi,
Section XX. De l’union dans un canal unique, de l’eau qui couloit d’abord dans différents canaux,
Exériences sur la quantité d’eau qui sort librement par l’extrémité d’un canal,
Problème. Connaoissant la vitesse moyenne de l’eau dans un canal, la largeur de ce canal et la hauteur que l’eau y occupe, déterminer la hauteur à laquelle le niveau de ce fluide s’élevera en barrant le canal en partie ou totalement, en supposant que l’eau puisse s’échapper librement en aval de la vanne,
Premier cas,
Remarque,
Second cas,
Troisième cas,
Section XXI. De l’altération que cause à la vitesse de l’eau le changement de direction d’un canal,
Section XXII. De la dérivation, dans des canaux différents, de l’eau qui couloit d’abord dans un canal unique,
Section XXIII. Moyens proposés pour mesurer la vitesse des eaux courants, Régulateur de Guglielmini,
Tube recourbé de M. Pitot,
Quart de cercle,
Corps flottants,
Chapitre III. Des fleuves.
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Section I. De l’origine des fleuves,
Section II. Des sources,
Section III. De la formation des torrents par les eaux de pluie,
Section IV. De l’action des eaux pluviales qui se réunissent dans les torrents sur celles qui y couloient déjà, et qui étoient entretenues par des sources,
Section V. De la pente des fleuves,
Section VI. De la vitesse des fleuves,
Section VII. Des tournants,
Section VIII. Des cataractes,
Section IX. De la direction et de la vitesse des fleuves à leur confluent,
Section X. De l’établissement du lit des fleuves,
Question I. Quelle est, en général, la nature des atterrissements que forment les rivières,
Question II. Parmi les montagnes secondaires, ne s’en trouve-t-il pas qui renferment des bancs étendus de cailloux roulés ? n’en voit-on pas dans leur lit ?
Question IV. Quelles sont les circonstances les plus favorables pour que les rivières offrent une plus grande quantité de cailloux dans leur lit ?
Question V. LEs rivières peuvent-elles charier des cailloux depuis leur origine jusqu’à leur embouchure ? et, en général, les transportent-elles loin des lieux où elles les reçoivent dans leur lit ?
Question VI. Quelles sont les circonstances les plus favorables pour le transport des cailloux ?
Des cas où l’eau éprouve une chûte,
Premier cas,
Second cas,
Troisième cas,
Section XI. De l’action des eaux contre les bords,
Section XII. De la situation du lit des rivières,
Section XIII. Du changement du lit des rivières,
Section XIII. Du changement du lit des rivières,
Section XIV. Des isles,
Section XV. Des effets des écluses, et de tous les autres obstacles qui alterent le cours des rivières,
Section XVI. De l’embouchure des rivières,
Section XVII. De la meilleure manière de diriger les torrents et les rivières,
Section XVIII. De l’union et de la séparation des torrents et des rivières
Section XIX. Des inondations,
Section XX. De la plus grande quantité d’eau que peut fournir un canal de dérivation,
Section XXI. Du dessèchement des marais,
Section XXII. Des ponts,
Section XXIII. Des digues,
Premiers cas. Lorsque les digues sont destinées à soutenir seulement des eaux dormantes,
Second cas. Lorsqu’elles doivent résister à l’impétuosité des eaux courantes,
Section XXIV. Des machines hydrauliques,
Premier cas. Lorsque les machines sont mues par le choc de l’eau,
Second cas. Lorsqu’elles sont mues par le poids de l’eau,
Troisième cas. Lorsqu’elles sont mues par la réaction de l’eau,