Les Stromates/Livre premier


Traduction par M. de Genoude.
Sapia, 1839 (Tome cinquième, pp. 7-93).
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  • Chapitre I : L’auteur expose les matières qu’il va traiter, et montre de quelle utilité les écrivains sont pour leurs lecteurs.
  • Chapitre II : Il prévient l’objection de ceux qui le blâmeraient d’avoir insère dans ses ouvrages de nombreux fragments de la philosophie grecque.
  • Chapitre III : Contre les sophistes et les prôneurs de la science inutile.
  • Chapitre IV : Les arts humains ne sont pas moins sortis de la main de Dieu que la science des choses divines.
  • Chapitre V : La philosophie est la servante de la théologie. Interprétation de l’histoire de Sara et d’Agar.
  • Chapitre VI : C’est l’éducation, non la nature, qui le plus souvent nous rend vertueux. La science est d’un grand secours pour nous porter à la vertu.
  • Chapitre VII : La philosophie ouvre à l'homme une route vers le ciel. Elle n'est pas particulière à une secte, mais ecclectique.
  • Chapitre VIII : L’art du sophiste, et généralement tous les arts qui ne traitent que des mots, ne doivent pas être regardés comme utiles.
  • Chapitre IX : Pour bien comprendre les Écritures, les sciences qui se rapportent à la philosophie sont absolument nécessaires.
  • Chapitre X : Il faut plutôt s’appliquer à bien faire qu’à bien dire.
  • Chapitre XI : Quelle est la sagesse et la philosophie que l’apôtre nous exhorte à fuir.
  • Chapitre XII : Il ne faut pas dévoiler au premier venu les mystères de la foi.
  • Chapitre XIII : Chacune des différentes sectes s’est emparée de quelque fragment de la vérité.
  • Chapitre XV : La philosophie grecque est puisée en grande partie dans la philosophie barbare.
  • Chapitre XVI : Les barbares sont aussi les inventeurs de presque tous les autres arts.
  • Chapitre XVII : Sur cette parole du Sauveur : « Tous ceux qui sont venus ayant moi sont des voleurs. »
  • Chapitre XVIII : L’auteur développe cette parole de l’apôtre : « Je détruirai la sagesse des sages. »
  • Chapitre XIX : Il prouve que les philosophes ont recueilli quelques fragments de la vérité.
  • Chapitre XX : En quoi la philosophie est utile pour comprendre la vérité divine.
  • Chapitre XXI : En comparant les époques respectives, il prouve que les institutions et les lois des Hébreux sont de beaucoup plus anciennes que la philosophie grecque.
  • Chapitre XXIII : Sur le temps où Moïse a vécu. — De sa naissance et de sa vie.
  • Chapitre XXIV : Comment Moïse remplit les fonctions de chef des Hébreux, et comment, par son exemple, il instruisit les autres dans l'accomplissement de leurs devoirs.
  • Chapitre XXV : Comment Platon, dans son Traité des Lois, s’est inspiré de Moïse.
  • Chapitre XXVI : Que c’est avec raison que l’on donne à Moïse le nom de législateur divin, bien qu’il soit inférieur au Christ, et qu’il est de beaucoup plus digne de ce titre que les législateurs grecs Minos et Lycurgue.
  • Chapitre XXVII : La loi a toujours en vue l’intérêt des hommes, même dans les punitions qu’elle leur inflige.
  • Chapitre XXIX : Les Grecs ont été justement appelés des enfants par les Égyptiens, si on les compare aux Hébreux et à leurs institutions.