CHAPITRE XI

À table on fut très gai. Mon père s’occupait de maman. M. Franck s’empressait autour de ma tante. Je m’entretenais avec mes sœurs. On avait donné ma chambre à l’invité. Je devais coucher au même étage que les femmes, dans la chambre d’Élise, qui partageait celle de Berthe avec Kate.

Quand tout le monde fut couché, je regardai dans la chambre de mes sœurs. Berthe dormait mais Élise n’était pas là. Je vis une lumière, je me cachai et vis paraître Élise et ma tante en chemise qui regardaient par une fente de la porte de mes parents. On entendait de fortes claques sur un cul nu. Puis la voix de mon père s’éleva : « Maintenant laisse tomber la chemise, Anna… Comme tu es belle avec tes poils noirs. »

Baisers et chuchotements.

« Marche, Anna. En avant, marche !… Halte !… Les bras en l’air… Que tu as de poils aux aisselles… Regarde comme je bande, Anna, prends-le… Présentez, arme… Arme sur l’épaule… viens ici !

— Voyons, Charles, ne t’excite pas tant… tu me fais mal… tu m’as assez vue. J’ai honte de me laisser regarder le derrière.

— Sois tranquille, mon enfant… Mets-toi sur le lit…, les pieds en l’air…, plus haut…, voilà… mon trésor… »

On entendait les craquements du lit.

« Est-ce que ça vient, Anna ?

— Bientôt, Charles !

— Oh ! ça vient. C’est bon !… Cha-arles… Ah ! Ah !

— Anna !… je décharge !… »

Sur les escaliers on entendait la voix de Kate. Élise l’entendit et rentra dans la chambre. Ma tante se sauva vers la sienne, mais sans la fermer. Elle ressortit. Mes parents avaient éteint la lumière. J’entrai dans la chambre de ma tante. En rentrant, elle eut peur. Je lui dis tout. Elle ralluma la lumière. Je l’embrassai sans parler. Je sentais les jolies formes de son beau corps. Elle tremblait. Je saisis son con sous sa chemise. Elle se débattait. Je la consolai.

« Soyons mari et femme, chérie, jolie Marguerite ! »

Mon doigt jouait sur le clitoris. Elle s’abandonna. Je découvris ses beaux tétons pareils à des boules de neige. Je la poussai vers le lit. Elle se mit à sangloter. Je lui proposai de partir pour nous marier. Ça la fit rire. Je mis mon vit nu. Elle était aussi excitée par le champagne qu’elle avait bu. Elle éteignit la bougie. Je mis mon vit dans sa belle main, puis je lui fis minette ; le plaisir était trop grand, elle s’agitait, son clitoris se gonfla. Je mis un doigt dans son con et suçai ses tétons. Puis je lui enlevai la chemise, je la pressai contre moi et, bouche à bouche, je poussai à coups redoublés ma pine dure dans sa fente virginale.

Un seul cri léger précéda la jouissance qui l’accabla aussitôt. C’était maintenant une femme enflammée et elle s’abandonna à la volupté.

Un court combat, mais dont les sensations furent infinies, nous amena tous deux aux bornes de l’extase la plus voluptueuse, et c’est avec les plus violentes secousses que je répandis dans son sein le baume vital.

Le plaisir avait été trop grand, je bandais toujours. Je la caressai puis je rallumai la bougie. Elle se cacha le visage dans les coussins ; sa pudeur était revenue, mais je tirai la couverture pour voir son corps de Vénus. Une légère trace de sang se voyait sur les poils du con, mêlée avec notre sperme. Je la nettoyai avec mon mouchoir, la retournai, lui chatouillai le dos, le cul et lui mis la langue dans le trou du cul.

Puis je me mis sur elle, la tête enfouie dans ses cheveux parfumés. Je mis mes bras autour de son corps, la soulevai un peu et replongeai ma pine dans sa fente humide. Un long combat s’ensuivit qui nous fit transpirer par tous les pores. Elle déchargea la première en criant de volupté comme une folle. Ma décharge suivit dans une volupté presque douloureuse. C’était assez, nous nous séparâmes.

Quelques semaines se passèrent en plaisirs divers. M. Franck faisait de plus en plus la cour à ma tante. Un jour, Élise et ma tante entrèrent dans ma chambre en pleurant. Elles étaient enceintes. Mais elles n’osaient l’une devant l’autre dire que j’étais le malfaiteur. Mon parti fut vite pris.

« Élise, épouse Frédéric, et toi, tante, marie-toi avec M. Franck. Je serai votre garçon d’honneur. »

Le matin du jour suivant, ma porte s’ouvrit. Ursule entra. Elle aussi était enceinte. Je lui dis d’épouser le cousin du régisseur qui lui faisait les yeux doux et promis d’être le parrain de son enfant. Puis je la mis nue et lui léchai le con et le cul. Ensuite je me lavai avec de l’eau de Cologne et me fis lécher le cul par elle. Cela m’excita énormément. Je la baisai avec de telles secousses que ses cheveux flottaient sur le lit.

Nous eûmes bientôt les trois mariages. Tout se termina amoureusement et je couchai tour à tour avec les femmes de mon harem. Elles savaient chacune ce que je faisais avec les autres et sympathisaient.

Bientôt Ursule accoucha d’un garçon, plus tard Élise et ma tante, d’une fille ; le même jour je fus parrain du petit Roger d’Ursule, de la petite Louise d’Élise et de la petite Anna de ma tante, tous enfants du même père et qui ne le sauront jamais.

J’espère en avoir bien d’autres et, ce faisant, j’accomplis un devoir patriotique, celui d’augmenter la population de mon pays.