La Science pratique des filles du monde/21

s. n. (p. 72-73).
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VINGT-UNIÈME MANIÈRE.

Le Cerceau.

Cette manière de foutre exige une souplesse de reins qui n’appartient pas à tout le monde. Il n’y a que des saltimbanques, des sauteurs de profession, qui puissent l’exécuter convenablement. Nous avons vu dans les rues et dans les spectacles des danseurs et danseuses de corde se coucher sur un tapis, à plat ventre, se prendre ensuite les deux pieds avec les mains, de manière à ce que leur corps formait un cerceau, et que l’un d’entr’eux l’enlevait avec les deux mains, et se promenait autour des spectateurs, en annonçant qu’il tenait un manchon. Eh bien ! paillards, fouteurs des deux sexes, pour lesquels nous écrivons, sachez que nous avons vu former ce cerceau en séance particulière, et cela par une femme nue, un homme la prenait, la plaçait sur une table, et la foutait ainsi pendant qu’elle suçait le vit d’un autre camarade. Elle jouissait comme une dévergondée, et le foutre lui coulait dans la gorge et dans le con.

Elle voulait prendre sa revanche, parce que, disait-elle, cela l’avait mise en belle humeur ; un homme forma le cerceau sur la table, il bandait et son vit se présentait de manière à défier un con ; la femme l’enfila elle-même et faisant toute la besogne, elle fit décharger son partenaire, en lui lançant elle-même son foutre. À sa demande, une de ses amies, lui mit le doigt dans le cul, pour augmenter le bonheur qu’elle éprouvait.

Air : C’est toujours autant de fait.

Lorsqu’une femme maline,
De son corps forme un cerceau,
Fouteurs, glissez votre pine,
Dans la bonde du conneau,
Qu’un autre la foute en bouche,
Et la garce au même instant,
Reçoit une double douche,
Rien n’est plus divertissant.