L’Anti-Justine ou les délices de l’Amour (1864)/35

Vital Puissant ? (p. 37-62).

CHAPITRE XXXV.

De la garce insatiable.

« Telle que vous me voyez, j’ai toujours été désirée des hommes. À huit ans, un ouvrier qui travaillait dans la maison à de la menuiserie, me prit le bijou, et comme je ne criais pas, me mit son membre entre les cuisses, me les fit serrer et me les inonda de décharge. Je le dis à ma mère, qui me lava les fesses ; elle menaça le menuisier et le fit déguerpir. Ce début annonce que le récit sera un peu libre, mais il faut être sincère.

» À dix ans, mon père, déculotté, m’asseyait à nu sur ses cuisses nues, faisait aller son membre entre les miennes comme le battant d’une cloche, et, bien échauffé, il allait enfiler ma mère, une jeune pétulante sœur de celle-ci, ou ma gouvernante. À treize ans, j’avais le bijou cotonné et si joli que mon père venait me le lécher la nuit pendant mon sommeil. Enfin il me sentit riposter à ses coups de langue et comprit que j’avais du plaisir ; il dardait plus fort et je partais… aussitôt mon père se mettait sur moi, me suçait mes petits tétons naissants, posait son membre à l’orifice de ma petite conque et me barbouillait toute la motte de sperme… il me lavait ensuite à l’eau de rose. À quinze ans, un jeune homme, frère de ma maîtresse de modes, me prit le con à la poignée, au moment où je regardais par la fenêtre, et voulut me chatouiller le clitoris avec son doigt, mais il me fit mal et je lui donnai un soufflet.

» À cette époque, mon père n’osait plus m’asseoir à cul nu sur ses genoux, ni me faire décharger en me léchant le con… il se retirait dès que je donnais le premier signe de réveil ; mais comme j’ai le pied joli, et que monsieur Dardevit, comme tous les hommes délicats, était infiniment sensible à ces attraits-là, il faisait faire mes chaussures par un habile cordonnier, celui de ma mère et de la marquise de Marigny ; le voluptueux ne me les donnait neuves que lorsque j’allais chez lui ; il me les faisait mettre avec des bas de coton, me faisait marcher chaussée, mettre à la fenêtre pour mieux voir ma jambe et mon pied, qu’il baisait ; il me faisait ensuite asseoir, me tirait un soulier, s’en coiffait le vit, me faisait lui patiner les couilles avec mon autre pied chaussé et poussait de profonds soupirs ; alors il cognait au plancher, ce qui faisait monter madame Mezières, voisine d’au-dessous ; elle lui arrachait mon soulier ou ma mule, elle se renversait sur le dos, il la troussait et la fourgonnait en me faisant relever ma jupe, en perspective d’une glace, jusqu’aux genoux. « Votre père me fait ce qu’il ne peut vous faire, me disait la Mezières, parce que vous êtes sa fille, mais c’est vous qui le faites bander… Ah ! si vous lui montriez votre joli conin, comme il me rabatellerait et me donnerait des coups de vit en con ! » Touchée de ce langage, souvent je me troussais et montrais une motte à poil follet et soyeux que mon père trouvait adorable. Je m’en apercevais aux vives estocades qu’il donnait à la dame. En la quittant, il venait me rechausser, mais quelquefois la Mezières l’en empêchait, et furieuse de luxure, elle me renversait, me léchait le conin et mettait dans le sien la pointe de mon soulier ou de ma mule, comme un godemiché. Pendant ce temps, mon père me palpait doucement les fesses ou les tétons. « Tu la foutras, bougre, tu la dépucelleras, et elle deviendra grosse de toi si tu ne la maries pas ! » Ce propos souvent répété fit que je demandai à me marier.

» J’avais un oncle, mari de ma tante ; l’escalier de leur demeure était obscur ; un jour que je le montais, mon oncle me suivait ; au beau milieu, il me glissa la main sous la jupe et me happa ce qu’il appelait le connot ; je me récriai. « Tais-toi, me dit-il, vas-tu troubler mon ménage ? » Je me tus et il me patina le connot, les cul d’une main, et le tétons de l’autre, me mit son membre dans la main, me le fit serrer en jurant, et tout en me suçant les tétons, me déchargea dans les doigts.

» J’entrai toute rouge chez ma tante, mais je ne dis mot. Quand je m’en retournai, mon oncle guettait ; il m’accompagna et me dit : « Tu vas bientôt te marier ; j’ai un parti, et il n’y a que moi qui puisse gagner ton père, et je le gagnerai si je te le mets seulement trois fois avant le mariage, lorsqu’il sera bien sûr. — Que me mettrez-vous ? » Je faisais l’ignorante, quoique j’eusse vu mon père et la Mezières. Nous étions dans l’allée, il mit son vit à l’air et m’empoigna le con. « Ceci dans ce que je tiens. » Je me débarrassai et ne répondis rien. J’étais à la porte de mon père, j’entrai ; il était absent, j’attendis.

» Seule avec moi-même, je résolus de pressentir mon père à son arrivée sur mon mariage ; je fus moins sévère avec lui qu’à mon ordinaire, et lorsque je l’embrassai, au lieu des yeux sur la bouche, j’appuyai sur ses lèvres. Il fut ravi ; je dardai ma langue comme je l’avais vu faire à la Mézières ; il me mit la main entre les cuisses, mais sur les jupes… Je m’abandonnai en disant : « Je voudrais me marier… et comptez que vous serez bien caressé si vous y consentez. — De tout mon cœur, à cette condition ; as-tu un parti ? — Mon oncle en a un que je n’ai jamais vu. — Bon ! ce n’est donc pas une amourette… Il faut d’abord que je te gamahuche aujourd’hui. — Qu’est-ce que c’est ?… — Te lécher là (me montrant le bijou). » Je fis une petite grimace. « Allons, prends cette petite éponge fine et lave-le bien à cause du joli poil qui commence à l’ombrager. Le plaisir que tu auras te dédommagera de la contrariété que tu te fais. » Il me suça légèrement le bout des tétons, pendant que mes fesses, mon cul, mon conin, nageaient dans l’eau tiède.

» Mon amoureux père ne me donna pas le temps de réfléchir ; dès qu’une éponge fine eut pompé l’eau, il me renversa sur le pied de son lit, troussée au-dessus des reins, et appliqua sa bouche sur la fente de mon conin, qu’il lécha vivement jusqu’à ce que je donnasse des symptômes de décharge, ce qui arriva au bout d’un demi quart-d’heure. En me sentant prête à émettre, mon père me quitta, me mit gros comme une noix de beurre dans le bas de la fente du connot, et m’y inséra son vit avec beaucoup de peine ; il saccada, je déchargeai, et j’avais tant de plaisir que je le secondai malgré quelques douleurs. Heureusement le vit de mon père n’était pas trop gros, mais il était long ; il me donna un plaisir complet, car il me chatouilla le fond, et au moyen de ce que j’étais très étroite, il m’emplissait le con comme si j’y avais eu un vit de mulet ; voilà comment je fus dépucelée.

» Je priai mon père, pendant qu’il me lavait le con, de ne pas différer son consentement que je ne voulais pas devoir à mon oncle, et je lui en dis la raison. « Il ne faut pas qu’il te le mette ; le bougre a le vit trop gros, il t’élargirait ; au lieu qu’après moi, ton futur ou tout autre fouteur te trouvera comme pucelle. » Je promis qu’il n’obtiendrait rien. « Des bagatelles, cependant, reprit mon père ; branle-le quand il te prendra le con. Tu pourrais même te laisser enculer, s’il était assez raisonnable pour s’en tenir là. — Comment fait-on cela ?… — Je vais te le montrer. » Et il m’encula ; j’eus du plaisir, car je déchargeai. Mon père me dit ensuite : « Quant à mon consentement, envoie-moi ton prétendu ; si c’est un vilain drôle que je soupçonne, tu n’en deviendras pas folle et… suffit. » Je m’en retournai contente chez mon oncle, où sa femme et lui me présentèrent leur protégé, une sorte de mulâtre qu’ils nommèrent M. Guac.

» Dès le même jour, ayant eu avec ce même M. Guac un entretien très vif, pendant lequel je le vis prêt à me prendre le con, sa laideur et sa sottise ne me rebutèrent pas, attendu que mon oncle et ma tante m’avaient prévenue qu’il était terrible pour les femmes, ce qui m’avait bien tentée. Au contraire, je lui dis que j’avais obtenu, le consentement de mon père et qu’il pouvait se présenter. Il me pria de le conduire, n’en étant pas connu ; je remis au lendemain à midi.

» Nous arrivâmes au moment où mon père devait sortir ; Guac m’avait pris le cul dans l’escalier et m’avait fait empoigner son vit, ce qui me donnait un coloris brillant ; j’étais ravissante ; je présentai Guac comme futur ; sa figure hideuse et basse fit sourire mon père, dont elle calma la jalousie. Il nous dit : « Mes enfants, j’ai une affaire pressée, mais elle sera courte, attendez mon retour. » Après son départ, Guac me dit : « Il paraît à son ton qu’il vous tiendra parole de consentir. — Je le crois, car il ne se contraint pas quand une chose lui déplaît — Ma belle, ajouta Guac, dont l’œil noir scintillait de plaisir et de luxure, permettez-moi de vous le mettre ici, sur le pied du lit de votre père ; consentez-y. « Je ne demandais pas mieux, à cause de mon dépucelage et que mon bijou me démangeait depuis que mon père m’avait perforée, mais je répondis : « Oh ! non, mon père n’aurait qu’à rentrer. » — Eh ! quand il rentrerait, vous voir enfilée ne ferait que hâter votre mariage ! »

» Il me renversa sur le pied du lit ; je me défendis gauchement ; il me mit le vit entre les babines du con et poussait à m’enfoncer… mais il ne put pénétrer, quoiqu’il se mouillât le gland. Il redoubla d’efforts qui aboutirent à le faire décharger une chopine de sperme sur la motte, le ventre et les cuisses.

» Je me débarrassai pour m’aller laver ! « Oh ! vous êtes bien pucelle, me disait-il en se remettant. » Comme je m’essuyais, j’aperçus mon père caché ; je n’en fis pas semblant. Un instant après mon retour vers Guac, ce père rusé entre auprès de nous. Guac me demanda en mariage ; mon père lui répondit qu’il me laissait la maîtresse absolue, et il signa les bans. Il dit ensuite à Guac qu’il avait à me parler et qu’il le priait de s’en retourner seul, qu’il me ramènerait chez ma tante, à laquelle il avait à parler aussi. Guac s’en alla.

» Dès qu’il fut sorti, mon père me dit : « As-tu été foutue ? » et il me prit le con à la poignée. « Vous avez bien vu que non. — Où donc a-t-il déchargé ? sur le poil… un peu entre les lèvres ?… — Oui. — Suffit, on peut devenir enceinte avec cela seulement, et tu n’as plus rien à craindre. Mais va le voir chez lui, et qu’il ait toute facilité. En attendant, je vais t’en fourrer encore un peu. » Il me renversa, et à l’aide du beurre frais, il m’enfila avec quelque facilité, ce qu’il répéta trois fois, excité par ce qu’il venait de voir et parce que j’étais extrêmement bien chaussée en souliers de soie neufs. Je déchargeai trois fois à chaque enconnage ; cela fit neuf fois. Mon père me dit que j’avais beaucoup de tempérament et que j’allais être une bonne fouteuse ; je me lavai soigneusement, et il me ramena.

» Nous trouvâmes Guac chez ma tante ; j’étais plutôt mise en appétit que rassasiée par le triple fourgonnage de mon père. Je dis à mon prétendu : « Allez chez vous, j’ai à vous parler. » Il y courut. Mon père parlait à ma tante pour accélérer ce mariage, car il craignait, à la manière dont j’avais déchargé, que je ne devinsse grosse de lui, et il le désirait en même temps, mais il fallait que je fusse mariée. Ma tante sortit avec lui.

» J’allais partir aussi pour laisser essayer à Guac un enconnage complet, lorsque mon oncle rentra. J’étais si en volupté que je n’en fus pas fâchée, quoiqu’il me déplût. Il ferma la porte au verrou et vint à moi « Tu vas donc te marier ! me dit-il ; allons, il faut en découdre à nous deux. Aussi bien Guac a le membre si gros qu’il te ferait souffrir le martyre (ceci acheva de me déterminer). » Il me saisit : « Laissez-moi, laissez-moi », dis-je faiblement. Mon oncle ne m’écouta pas, et voyant que je ne criais ni n’égratignais, il me renversa sur le lit, me troussa et dirigea son vit dans le vagin de mon con. J’eus l’air de paraître me défendre en le secondant. Il me fit mal, je criai, et voyant que les cris le facilitaient, je me mis à crier de toutes mes forces, ce qui le fit enfoncer jusqu’à la garde, avec tant de plaisir de ma part, que mes gémissements étaient de volupté ; je me débattais, mais mon con lapait le gros vit, donnant de si bons coups de cul que je déchargeai avec des convulsions terribles et des contractions des trompes qui pinçaient le gland de mon oncle. Il s’écria… se pâma de plaisir… « Ah ! pour une pucelle, que tu fous bien ! me dit-il ensuite, que sera-ce donc un jour !… Recommençons. » Il me recommença trois fois, malgré mes pleurs, car je sentis qu’il fallait pleurer. Quand il fut rassasié, il déconna. « Oh ! céleste fouterie, me dit-il, si le mérite de ton con était connu, il ferait fortune ! — Oui, vous me l’avez bien accommodé », répondis-je en sanglotant. Il ôta le verrou, jeta l’eau mêlée de sang et de foutre, puis craignant le retour de sa femme, il sortit en disant : « Remerciez-moi ; sans cette préparation, Guac vous aurait estropiée, et revenez à moi s’il le faut. »

» Je ne fus point étonnée ni effrayée de ce langage ; dès qu’il fut parti, j’essuyai bien vite mes larmes et je pris un air riant. Ma tante revint ; je la prévins de l’attaque de son mari, mais non du succès, pour lui faire presser mon mariage, la priant de ne rien lui en témoigner, de peur qu’il ne levât le masque. Je promis de toujours bien me défendre comme je venais de le faire, et tout en parlant, le con étant venu à me démanger, je courus chez Guac, espérant que, préparée comme je l’étais, il me l’enfoncerait enfin. Il m’attendait. « J’ai bien des choses à vous dire ; » ce fut mon début, et il ne me laissa pas continuer, il me prit la motte. « Foutons d’abord », me dit-il en me renversant. Je n’en fus pas fâchée, car je ne savais trop quoi lui dire de nouveau. Je me défendis gauchement, comme avec mon oncle et mon père, mais quoique je fusse élargie, ses tentatives furent encore inutiles. Je n’osai lui dire de prendre du beurre, de peur de paraître instruite. Je m’attendais qu’il y songerait ; cela ne lui vint pas en pensée. « Tu es diablement pucelle », me dit-il en me tutoyant ; il me tourna sur le ventre, me cracha au trou du derrière et m’y enfonça son engin avec des efforts inouïs. Je poussais des cris horribles, mais il me tenait si ferme en m’enculant que je ne pouvais remuer ; je le secondai pour moins souffrir, et mes ripostes me firent décharger. Je croyais avoir un timon de carrosse dans le cul. Le retirer ne fut pas sans plaisir. « Tu vaux ton pesant d’or, même en cul ; suffit. » Il me demanda ensuite pardon : « Votre beau con, votre beau cul, vos blancs tétons m’avaient mis comme un enragé ; ne pouvant vous enconner, je vous ai enculée : pardonnez, belle maîtresse, j’ai plus d’un projet pour vous dédommager. » Le cul me faisant mal, Guac me le mit dans l’eau tiède, puis il me le baisa, me le lécha, allant quelquefois au con. Il rebanda, mais je voulus m’en aller. Il fut obligé de me ramener en fiacre ; je ne pouvais marcher qu’avec douleur, ce qui n’empêcha pas qu’il ne me fît le branler dans le carrosse, lui ayant le nez dans une mule mignonne qu’il m’avait arrachée du pied et dans laquelle il déchargea. Dans le délire du plaisir, il me dit : « Ma reine, j’ai le vit trop gros pour toi ; choisis de l’œil un joli jeune homme pour te dépuceler, et je trouverai moyen de te le faire avoir sans te compromettre. » Ceci me fit plaisir ; Guac me descendit et me porta ; je me mis au lit ; le sommeil calma mon cul.

» Le lendemain, j’allai chez mon père, auquel je racontai tout ce que Guac m’avait fait et dit. « Bon, me répondit-il, tu as du tempérament, tu seras foutue en con, en cul, en bouche, et tu seras heureuse. Vous serez mariés dans huit jours, et je t’aurai un fouteur plus gros que moi. En attendant, ie vais te le mettre ; on ne saurait trop élargir un conin aussi mignon ! » Mon père m’enconna et recommença trois fois. « Tu es toujours pucelle », me dit-il. « Et pourtant, m’écriai-je, mon vilain oncle, avec son gros membre, m’a bien violée trois fois ! — Trois fois ! reprit mon père, quel conichon as-tu donc ? On pourra vendre mille fois ton pucelage… Il faut que je te refoute », et il me refoutit.

» Tandis que je me rinçais le con avec de l’eau tiède, mon père s’était mis à la fenêtre et causait avec un jeune procureur, son voisin, gros et beau jeune garçon de trente ans. Le con lavé, j’allai regarder en levant le rideau, mais le jeune homme m’ayant aperçue, je me retirai. « Quelle est donc cette céleste personne ? » demanda-t-il. Mon père ne répondit que par un geste qui signifiait, je crois, c’est ma maîtresse. Il gesticulait encore, quand le procureur disparut. Mon père me dit aussitôt : « Veux tu que ce bel homme te le mette en payant ? — Ô mon père ! — Appelle-moi monsieur devant lui. » On frappa, mon père ouvrit et j’entendis qu’il disait tout bas au jeune homme : « Apportez-vous les cinquante louis ? — Les voilà. — Mademoiselle, me dit alors mon père, vous savez si je vous aime pour vous-même ; voici un bel homme de mes amis qui veut vous faire un présent ; je sors, témoignez-lui votre reconnaissance. » Mon père se cacha et le procureur le crut sorti.

« As-tu été foutue aujourd’hui ? me dit-il en venant pour me prendre les tétons. Je le régalai d’un soufflet. « Apprenez que je suis ici chez mon père. — Vous êtes mademoiselle ?… — Oui, monsieur, je dois être mariée dans huit jours. — C’est un mariage de raison ou d’intérêt ? — Mais mon père ayant été instruit que mon futur était monstrueux, ce bon père a pris sur lui de me faire préparer ; je vous ai cru son ami ; j’ai consenti après avoir vu. » Le procureur était à mes genoux, il me demandait mille pardons. « Soyez donc honnête alors, » repris-je. Alors il me caressa, je lui rendis enfin un baiser. Il me renversa ; il avait le vit comme mon oncle, mais il était moins adroit. — De la pommade ! lui criai-je ; mon prétendu m’ayant fait entrer chez lui par surprise, il ferma les portes et voulut me violer ; ne le pouvant pas, il me pommada et ne réussit pas encore ; vous, pommadez-moi. » En parlant ainsi, ses tentatives me firent décharger ; je soupirais de volupté. Mon père crut que c’était de douleur ; il arriva, me pommada, dirigea le vit de mon fouteur dans mon con et dit : « Poussez à moi, soulevez du cul, étreins-le dans tes bras, seconde ton dépuceleur à chaque coup par un coup de croupe en avant, passe les jambes sur ses reins et serre en remuant ; bon… bon !… saccadez-vous !… bon !… — Ah ! dieux !… quel plaisir, s’écria le fouteur, comme elle a le con étroit… le mouvement délicieux ! » Je lui dardai ma langue en murmurant : « Mon cœur… mon roi… je t’adore !… — Ah ! la chère petite amie, elle est tendre… je décharge… je la fous… — Ah ! il me fout, mon père… tous les hommes foutent-ils !… ah ! mon père, quel plaisir !… mon âme va sortir par le trou… qu’il me fait… » Je déchargeai en me raidissant. « Ah ! la petite reine, s’écria le fouteur, elle décharge !… Mon père, donnez-la moi pour femme, je l’ai dépucelée, je l’épouse !… »

» Mon père, qui avait ses desseins sur moi, refusa ; il en résulta que le procureur enragé s’acharna sur moi et me foutit dix-huit fois ; mon père fut obligé de l’ôter de sur moi et de le porter chez lui : il ne pouvait plus marcher. Quant à moi, j’étais à peine fatiguée. Mon con lavé, rafraîchi, il n’y parut plus. Au retour de mon père, le voyant tout ému à la vue de mes tétons, je lui dis : « Si vous bandez, satisfaites-vous en me foutant deux ou trois fois. — Oh ! quelle scène ! s’écria-t-il, mais tu as un con, un tempérament impitoyables. Ils feront notre fortune : voyons si tu déchargeras encore. Foutons !… » Et en m’enconnant, il me loua fort de m’être avouée sa fille et du soufflet donné. « Les fouteurs dédaignent les foutues, mais avec toi ce sera le contraire ; je veux te mettre au-dessus de ces bougres-là. — Je décharge !… m’écriai-je. — Et moi aussi », me dit-il en me saccadant. Il me réenconna trois fois, et toujours je déchargeai. Je me lavai en disant : « J’épuiserais dix hommes. » Je lui recommandai d’instruire mon futur de ce qu’il fallait faire pour m’enconner ; je lui dardai ma langue et je partis.

» J’avais été foutue vingt-cinq fois dans la journée, sept fois par mon père. Je retournai chez ma marchande, mais tous les hommes que je rencontrais me tentaient. Que les putains sont heureuses ! pensais-je, elles attaquent qui elles veulent. Tout à coup une idée me vint : allons chez Guac, je lui dirai de me pommader ; qu’il m’estropie, mais qu’il me foute ! J’y volai.

» Il était avec un beau jeune homme, qu’il fit cacher au bruit de mes talons, mais je l’entrevis par le trou de la serrure. Guac me reçut mystérieusement et me conduisit dans la pièce obscure où je lui avais vu cacher le jeune homme. « Ma reine, ma belle future, me dit il, je crois que je pourrai vous enfiler aujourd’hui ; ayez seulement de la complaisance… — Oui, mais pommadez… ma tante… — J’entends… » Je sentis qu’il me remettait à une main plus douce ; on me prit les tétons, le con, on me darda la langue ; je caressai, on me troussa, je fis beau con. L’on se mit sur moi ; je sentis qu’on m’insérait un morceau de beurre frais à l’entrée de la vulve, au trou du con. On poussa, je secondai, m’apercevant avec étonnement qu’on ne me faisait presque point de mal. Enfin, on parvint au fond sans m’avoir blessée et l’on y déchargea… L’abondance et la douce chaleur du foutre me firent parler ; avec un plaisir, des élans, des transports incroyables, je m’écriai : « Cher amant… divin amant… j’expire de bonheur et de volupté… je t’adore !… » Le jeune homme déconna ; il me suça les tétons, les lèvres, me fit darder la langue, ce que je fis tendrement ; aussitôt il me réenconna avec fureur ; j’eus autant de plaisir que la première fois ; bref, il me recommençait sans cesse, et ce fut Guac qui le renvoya, car pour moi, déjà foutue vingt-cinq fois dans la journée, je crois que j’aurais laissé aller ces deux hommes jusqu’à cinquante, si tous deux avaient pu me le mettre. Guac, me voyant quelque difficulté à marcher, m’envoya chercher un fiacre pendant que je me lavais le con. « Eh bien ! ma charmante reine, t’ai-je bien foutue ? » me dit-il. Je rougis. « Loin d’être épuisé, je me meurs d’envie de t’enculer. — Ah ! non, non ! m’écriai-je avec effroi. — Eh bien ! branle-moi des deux mains, comme te voilà, le cul dans l’eau. » Je branlai son vit, qu’à peine je pouvais empoigner ; quand le foutre fut prêt à venir, il hurlait de plaisir… « Ta bouche, me disait-il, ta bouche ou je t’encule !… » Je décalottai le gland, je le pressai de mes lèvres, le foutre arriva… De peur qu’il ne tombe sur mes tétons, j’ouvre la bouche, et il m’est lancé au fond du gosier. Je l’avale comme un lait de poule… il y en eut une chopine… « Foutre ! foutre ! s’écriait Guac, je me pâme ; ah ! céleste garce… tu vaux mieux que toute la terre. Est-ce bon ?… Ce qui fait tant de plaisir en bas doit faire du bien en haut… Ah ! divine putain, je t’en nourrirai ! » Le fiacre arrivait, Guac m’y porta, on me l’avait mis trente-sept fois.

» Le frère de ma marchande se trouva seul à la maison lors de mon retour. « Mademoiselle Convelouté, me dit-il, que vous êtes cruelle pour moi… on dit que vous allez vous marier. Vous devriez bien favoriser aux dépens du futur un jeune homme qui vous adore. C’est un veuf, un laid, vous êtes pucelle et si jolie ! D’ailleurs, il l’a très gros, dit votre oncle, et il vous fera très mal ; si un vit plus jeune que le sien vous préparait ? Et voyez (et il mit à l’air un vit charmant), c’est un véritable croque-pucelage sans faire mal. Je sais m’y prendre. Le mari de ma sœur est un bandalaise, et elle se fait ôter de temps en temps par moi les toiles d’araignées du bijou. » Ce langage me plut et son vit me tentait ; je lui répondis : « Je n’ai point d’araignées à ôter. » Il vit à mon air que je n’étais pas de mauvaise humeur, il me prit les tétons. « Finissez donc, libertin », lui dis-je doucement et sans presque le repousser. Il me prit la motte : « Oh ! c’est trop fort, ceci ; voulez-vous bien finir. » Il était déculotté, il bandait raide… il me renversa sur le lit de sa sœur, me troussa et se mit sur moi, tandis que je disais nonchalamment : « Eh ! mais c’est donc une violence ?… » et que je me défendais d’une manière qui me livrait… Il me dit : « Ah ! céleste innocente, je vous le mettrai !… » Il m’enfila… je ripostais en hennissant du cul comme pour le repousser, il n’en dardait son vit que plus fort. « Non, s’écria-t-il en déchargeant, il n’est rien tel que d’enconner l’innocence ! » Cependant, craignant que je ne me débarrasse, il me foutit trois coups sans déconner (ce qui fit mes quarante fois dans la journée) et ne me quitta qu’en entendant du monde ; je courus me laver.

» C’était la marchande ; elle dit à son frère : « Heureusement que c’est avec Convelouté, tout autre aurait sauté le pas, polisson ! Mais l’as-tu attaquée ? — Oui. — En ce cas, tu dois n’en pouvoir plus ; viens, que je te soulage. » Il y avait encore de l’huile dans la lampe, le jeune homme mit le verrou, nous enfermant ainsi tous trois, et il se jeta sur sa sœur, qu’il enfila d’un trait. Ah ! quels coups de cul elle donnait… « Lime, lui disait-elle, je décharge, sois à moi, étreins-moi vivement… fous-moi vingt fois en une ! » Je les voyais… ranimé par là, mon insatiable conin désirait un vit, lorsqu’on frappa doucement ; j’ouvris, en tirant les verrous plus doucement encore. J’espérais que ce serait le mari de la marchande, qui depuis longtemps brûlait de me le mettre ; je me proposais de le pousser dans une autre pièce ; point du tout, c’était un beau jeune homme qui avait beaucoup d’air de celui par qui Guac venait de me faire foutre. « Mademoiselle, me dit-il, se nomme Aglaé Convelouté ? — Oui, monsieur. — Mademoiselle est la prétendue de monsieur Guac ? — Mais oui, monsieur. — Aimez-vous fort ce monsieur Guac ? — Monsieur, la raison et non la passion font un mariage. — En ce cas, mademoiselle, je ne vous ferai pas de peine en vous révélant un secret. — Quel est-il, monsieur ? — C’est que tout à l’heure vous avez cru être possédée par votre futur. — Quel conte vous me faites-là, monsieur. — J’étais présent, mais caché, mademoiselle ; son timon de carrosse ne pouvant vous perforer, il m’a vendu votre pucelage cent louis, et c’est moi qui vous ai déflorée. Me préféreriez-vous ? — Ce que vous me dites est-il possible, monsieur ? — Cela est ; il l’a trop gros ; on vient de vous le mettre, et c’est moi. « Je le savais bien. » Il n’y a qu’un mot à dire : pouvez-vous m’épouser, monsieur ? — Mademoiselle, je suis marié à une vieille de soixante-dix-huit ans, qui m’a fait ma fortune, et je suis obligé d’attendre qu’elle soit morte. — Et si je devenais grosse, monsieur ? J’épouserai M. Guac. — Voulez-vous être ma maîtresse ? — Cela ne me conviendrait pas. — De son consentement ? Comme vous m’avez eue déjà, et que c’était de son consentement, je m’y prêterai, pourvu qu’il ignore que je le sais. — Oh ! de tout mon cœur ; ceci marque votre honnêteté. Êtes vous seule ? — Non, la marchande est là. — Pourrais-je vous avoir à coucher ? — Oh ciel ! je ne saurais découcher que sous le prétexte d’aller veiller mon père en le supposant indisposé ; ainsi, cela est impossible. — J’irai, si vous le permettez, parler tout uniment à votre père ; je suis riche, il vaudrait mieux que je vous donnasse le prix de vos faveurs qu’à un vil malheureux comme Guac. — Eh bien ! parlez à mon père — Je reviendrai vous chercher s’il m’accorde ma demande. — Mais ne revenez pas seul ; je veux voir quelqu’un à lui et que je connaisse. — Vous serez tranquillisée. »

» Il alla chez mon père ; il lui raconta comment Guac, n’ayant pu me dépuceler, lui avait vendu mon pucelage cent louis en quatre séances, vingt-cinq louis chacune, dont la première était payée ; qu’il m’avait enconnée en me pommadant et qu’il avait trouvé mon bijou délicieux et si satiné qu’il n’en voulait plus d’autre, qu’il m’avait demandé de coucher avec moi, et que c’était par mon conseil qu’il s’adressait à lui ; il lui offrit ensuite les soixante-quinze louis restants pour les trois nuits suivantes. Mon père répondit : « Puisque Guac a voulu être cocu, qu’ainsi soit fait. Je consens, monsieur, que vous couchiez avec ma fille, si vous avez cueilli sa rose, ce qu’elle me dira, allez la chercher avec un billet par lequel je vais la demander. » Et il écrivit, puis il accompagna le galant jusqu’à la porte de ma marchande que son frère foutait encore.

» Cependant, je m’amusais à voir coniller le frère et la sœur ; j’étais en feu quand le jeune homme reparut avec un billet de mon père ; je vis par la fenêtre celui-ci qui nous attendait dans le carrosse de mon dépuceleur prétendu. Je partis en avertissant que j’allais veiller mon père malade. À notre arrivée, le galant paya un beau souper et remit vingt-cinq louis d’or à mon père. On mangea, on but, puis je fus mise au lit ; le jeune homme exigea que mon père me déshabillât et me lavât la motte ; s’étant lui-même mis à nu dans un instant, il entra dans une chemise fort large et qu’il avait apportée, afin de me palper mieux. Il appela mon père pour qu’il lui mît le vit dans le trou de mon con, puis il poussa ; il eut autant de peine que chez Guac, ce qui m’étonna moi-même ; aussi dit-il : « Elle a le conin réellement étroit : elle se réempucellerait en huit jours si on la laissait tranquille. » Il me foutit six coups. Mon père, couché à côté de nous, lui mettait toujours le vit dans le con. Il s’endormit ensuite et moi aussi. Le lendemain, il fit faire d’excellent chocolat, qui me refit ; je refusai sa voiture pour retourner chez ma marchande.

» On ne se douterait pas pourquoi. J’avais oui dire que le foutre avalé chaud était excellent pour la poitrine, fortifiait et blanchissait le teint ; je voulais en avaler ma chopine en suçant le vit de Guac ; j’y courus dès que je me vis libre ; il allait sortir. « Je viens vous donner du plaisir, lui dis-je, mais sans en prendre ; vous m’avez trop fatiguée hier. — Allons, ma belle, que faut-il faire ?… vous enculer, vous encuisser, vous endosser, vous enaisseller, vous enoreiller, vous encoller, vous entétonner, décharger sur le nombril, me faire serrer le vit entre vos mollets, faire un con de votre soulier ou de votre jolie mule ?… tout, je ferai tout pour vous, hors vous enconner ; je ne saurais pas ce que nous sommes, vous trop belle et moi trop laid… » Au lieu de répondre à ce langage, qui était de l’arabe pour moi, j’avais déboutonné sa culotte et le branlais d’une main en chatouillant par instinct les couilles, de l’autre. Il se récriait de plaisir : « Déesse… sacrée garce… divine putain… branle… branle… chatouille… chatouille les couilles… oh ! oh !… quelles délices… bougresse… gueuse… putain… divinité… le foutre vient !… » À ce mot, j’embouchai le gros vit, le palpotant de ma langue et du palais. Ce fut alors que Guac en délire s’écria : « Foutre !… divine bouche !… con de la déesse Vénus, con de Cléopâtre conniliée par Antoine, con de Laïs, d’Aspasie, de Phryné, con d’Agnès Sorel, de Marion Delorme, de Ninon, de la d’Aubigné, de la Vallière, de la Pompadour, de la Duthé, de la Lange, de la jolie Marc, de l’adorable et provoquante Mézerai, de la jeune et naïve Henry, vous ne valez pas cette bouche-là ! je fous… ous… ous !… je décharge… avale… avale !… gorge-toi de foutre, ma reine ! » Il dégorgea vivement, quoique je lui suçasse encore le vit. « C’est trop de plaisir, dit-il, on en mourrait ! » Il me fit prendre quelques cuillerées de café pour me rincer la bouche, puis je me remis à le branler. Il me suça les tétons, me fit darder ma langue et voulut me gamahucher ; je m’y refusai, devant être foutue le soir. Il rebandait, je secouai, je chatouillai, le foutre revint et j’en avalai une nouvelle dose, ce qui eut lieu trois fois de suite ; le manque de temps seul nous obligea à nous séparer.

» Le soir à neuf heures, une voiture vint me prendre et me mena chez mon père ; on y soupa, coucha et foutit comme la veille. Le lendemain, après le chocolat, j’allai faire mon déjeuner de foutre chez Guac. De retour chez ma marchande, son mari, sans doute instruit par le frère de sa femme, voulut me le mettre. Je m’y refusai absolument ; il s’en plaignit à sa femme, qui m’en fit reproche, mais lui ayant dit que mon prétendu me l’avait mis dix fois en gardant mon père avec moi, elle fit mes excuses à son mari en le priant d’attendre son tour.

» Le soir on vint me prendre. Madame Viédase, ma marchande, me dit à l’oreille : « Tâche de ne pas être foutue, afin que mon mari puisse te le mettre demain : il s’en meurt. » Je trouvai mon amant chez mon père. En soupant, on parle de Guac. Mon amant dit qu’ayant été enconnée devant lui, je ne devais pas redouter la grossesse. « C’est pourquoi, ajouta-t-il, j’enfourne à plein con et décharge au fond. — Je vous mets le vit dans le conin de ma fille avec plaisir, dit mon père, afin de mieux cocufier ce jean-foutre de Guac qui vous a vendu son pucelage. — C’est aussi ce qui me met en fureur érotique quand je fous sa future, reprit mon galant ; je pousse encore une corne à ce bougre de Guac et je me trouve intarissable. Il m’a même passé une idée par la tête, c’est de vous donner à chacun cinquante louis pour que vous foutiez ensemble tous deux, afin que le mâtin soit recocu et surcocu ! — Tope ! s’écria mon père, après votre affaire faite, vous me mettrez le vit dans le con de ma fille. — Non, non ! m’écriai-je. — Vous me la retiendrez si elle récalcitre. — Je n’ai pas ces idées, leur dis-je ; si je remue du cul comme je le fais alors que mon amant me fout, c’est que je l’aime. Quant à monsieur Guac, je lui dois beaucoup de reconnaissance : il est ma nourrice et c’est lui que je tette. » On ne comprit pas le sens de ce mot ; on me coucha.

» Au lit, mon amant me foutit six fois ; à la sixième fois, mon fouteur dit à mon père : « Mets toi sur ta fille et fous-là ; je vais l’introduire. » Mon père me grimpa ; le jeune homme lui mit le vit dans mon con ; il poussa ; comme j’étais amoureuse de lui plutôt que de tout autre homme, je remuai de la charnière comme une princesse foutant avec un page ; le jeune homme, ranimé, entra dans un tel érotisme, en nous voyant décharger, qu’il nous fit mettre sur le côté et m’encula tout enconnée que j’étais. J’allai me laver et nous dormîmes.

» Le matin, au déjeuner, le jeune homme paraissait ivre de joie. « Ah ! qu’il est cocu, le bougre ! s’écriat-il ; bonhomme, voilà un effet de cent louis ; il faudra que tu la foutes après le mariage, et il y aura vingt-cinq louis chaque fois. » Il partit et je courus chez Guac, que je commençais à aimer autant que mon père.

» Il me reçut avec transport, me traitant de divine garce, de céleste putain. Il m’allaita de foutre six copieuses fois, ce qui me mit dans un tel érotisme que je retournai chez mon père. « Ton procureur, lui dis-je essoufflée, doit être remis depuis l’autre jour ; je brûle… cours-y si tu m’aimes ! » Il y alla, m’appelant Cléopâtre ; il trouva le jeune homme à la fenêtre, son vit bandant à la main. — Je viens de voir entrer votre fille, et je me branlais à son intention, dit-il. — Gardez-vous-en bien, apportez un petit présent et venez le lui mettre. — Vingt-cinq louis… — C’est trop pour une pratique ; un louis par coup, soit, mais je n’en remettrai pas, elle gagnera peut-être la somme. » Il vint chez moi ; en entrant, il jeta la bourse au pied du lit. « Allons, ma fille, me dit mon père, tu es à tes pièces : autant de coups foutus, autant de louis ; mais il ne faut pas te tuer, mon amie. Il allait se branler à ton intention quand je suis entré. » À ce mot, je me jetai à son cou et lui dardai ma langue en lui disant : « Ah ! cher ami, je t’adore !… — Moi aussi », me répondit-il, et il me prit les tétons et le con. Je me renversai, et il se mit sur moi, je me fourrai son vit dans le con, et en quatre coups de cul je me le mis au fond ; il déchargea en me sentant émettre ; il me foutit dix coups. « J’ai quinze louis à-compte, lui dit mon père en le voyant se laver et reculotter ; vous reviendrez quand vous voudrez. »

» Nous étions à l’avant-veille du mariage ; tous les matins, Guac m’avait allaitée, ou plutôt affoutrée, ce qui m’avait rendu la peau plus blanche, le teint plus brillant, le con plus satiné, et me donnait un tempérament si violent que je n’étais à mon aise qu’un vit au con. Le jeune homme dit en déjeunant : « Guac doit être surpris de ne pas me revoir. Cela pourrait faire tort dans son idée au con de ma belle fouteuse ; aussi je veux lui acheter la première nuit de sa mariée, puisque l’impitoyable agnès veut absolument l’épouser. » Je le lui avais dit en foutant, mon père applaudit. Mais en me conduisant chez Guac, que j’allais téter, ce bon père ajouta : « Tu n’es pas une mariée ordinaire ; ce qui éteindrait la soif d’une autre n’est qu’une goutte de foutre pour toi. J’ai une idée, c’est de m’arranger à te régaler après-demain, en te le faisant mettre jusqu’à extinction de forces pour tous ceux qui t’ont déjà foutue, moi d’abord, ton oncle, ton procureur, le frère de la marchande et peut-être son mari ; s’il se trouve quelques nouveaux bougres, ils t’enculeront, sous prétexte de conserver ton pucelage à ton époux. C’est un délice que d’enculer une mariée le jour de ses noces, et ils le payeront bien ; je m’arrangerai avec Guac pour tout cela. » Nous arrivâmes ; j’embrassai mon père, transportée de reconnaissance ; en le priant de tâcher de me suivre secrètement pour me voir téter ; j’entrai, je l’introduisis. Guac courut à moi en se déculottant ; il me baisa pieds, jambes, cul, con et tétons ; il me fit ensuite lui darder ma langue, après quoi il me mit son vit en main ; je le secouais vivement, lorsqu’il me dit : « Garce, je suis raisonnable, je ne t’enconne pas ; il faut que ton père et ton oncle te foutent le jour du mariage ; je t’aurai pour la nuit trois vits frais, dont celui qui t’as dépucelée sera un… Ah ! l’idée que ton père t’enconne va me faire décharger une pinte de foutre et te l’entonner dans le gosier ! Allons, garce ! ça vient, embouche-moi le vit… ah ! ah ! ah ! le bougre fout sa fille… ton père te fout, garce… te fout, putain… ah ! je décharge à cette divine idée… houah ! » Il se pâma presque. Pendant l’interruption forcée, j’allai prendre mon père à sa cachette : « Fous-moi, lui dis-je, puisqu’il le faut pour le bonheur de mon prétendu… — Ah ! déesse, s’écria Guac en se précipitant à genoux, tu incestues pour moi ! » Il m’introduisit le vit paternel : « Remue du cul, me criait-il, saccade ! — Je décha… arge… lui dis-je, viens, cher ami, que je te branle. » Guac hennissait de plaisir en sentant venir le foutre ; il m’emboucha sans que mon père me quittât, et en même temps que j’avalais du foutre, j’en reçus dans le con, et je déchargeai. Mon père me foutit quatre fois et Guac m’avait embouchée quatre fois quand on frappa. Guac courut ouvrir, pendant que je me rinçais la bouche et le con. C’était mon oncle. « Vous arrivez à point, lui dit-il, on essaie ma future et vous allez l’essayer. » Mon père expliqua la chose. Guac me renversa sur le foutoir et mon oncle m’enconna. Il me foutit six coups ; j’embouchai six nouvelles fois le vit de Guac, après quoi on me laissa respirer. Il fut ensuite convenu que douze fouteurs me passeraient sur le corps le jour de mon mariage, en con ou en cul, à mon choix, et que Guac, qui, lui seul, aurait ma bouche, me ferait foutre la nuit et dans l’obscurité par trois vits nouveaux de son choix. Mon oncle émerveillé s’écria : « Mais elle sera putain !… — C’est ce qu’il me faut pour que je l’adore ! et ne vous en plaignez, ni son père ni vous, puisque vous serez les seuls qui ne payerez pas… » En achevant ces mots, il se prosterna devant moi en me traitant de déesse.

» Je retournai chez ma marchande ; son mari et elle-même me tourmentaient pour que le premier m’eût une seule fois avant mon mariage ; ils me pressèrent plus fort que jamais, et je cédai ; la femme me mit dans le con le vit de son mari ; je ne fus foutue qu’une fois, cet homme étant faible et sa femme le voulant être après moi. Ce fut de ma main qu’elle reçut dans son con le brûlant vit marital. Cette opération faite et répétée, je les quittai en leur disant adieu ; ils pleuraient. « Ce qui me console de ta perte, me dit ma marchande, c’est que mon mari t’as foutue. Ta voluptueuse idée me le fera mettre plus souvent. » Je partais quand le frère entra. Sa sœur lui dit ce qui venait de se passer ; il ne répondit rien, mais il me ramena du côté du lit, m’y renversa et me foutit devant eux sans prononcer une parole ; il voulait me recommencer ; je m’y refusai, en l’invitant, ainsi que son beau-frère, à venir me le mettre le surlendemain, jour de mon mariage. On me remercia.