L’Anti-Justine ou les délices de l’Amour (1864)/31

Vital Puissant ? (p. 18-20).

CHAPITRE XXXI.

Suite des mêmes piochettes. — Dix ans après.

« Je vais donner la suite de cette histoire. Piochée eut effectivement une fille qui a quatorze ans aujourd’hui et qui est jolie comme sa grand’mère ; elle sert au plaisir du vieux, qui, ne pouvant plus enconner, s’en fait caresser, tandis que la mère lui suce le vit. C’est dans les extases de ce plaisir long et difficile, causé par le chatouillement que faisait éprouver à son vit paralytique le palais de Piochée à quatorze ans, qu’il dit à Pioché l’Adonis, son père et son oncle, que justement la jeune fille aimait incestueusement : « Bande, bougre, et ne décharge pas ! Tu me dépucelleras ta petite garce de fille dès que ton grand-père t’aura déculé. » La petite fut gamahuchée par le vieux singe, puis pommadée par sa mère ; son père déculé, bien bandant, vint sur elle et lui darda son vit dans le conin, dont la mère écartait les babines. Le fouteur n’entrait pas, la petite déchirée se récriait, le vieux satyre émotionné bandochait en s’écriant : « Oh ! pousse donc, mâtin ! oh ! pousse donc, bougre ! fends, pourfends le conichon de ta fille et mets-y une petite garce que nous déflorerons un jour… Oh ! oh ! mon étalon, fais-moi des cavales ! » Et le vieux décharné, par un phénomène, émit quelques gouttes de foutre dans la bouche de Piochée au moment où Adonis, forçant toutes les barricades, malgré les cris de sa fille, déchargeait au fond de son conin ensanglanté. Le bélître en fut si glorieux qu’il fit à Piochette mille écus de rente et autant à Piochée, outre ce qu’elles avaient déjà. Son grand délice pendant qu’il fait servir la bouche de la mère de con à son vit qui ne décharge plus, est de voir piocher Piochette, non-seulement par le vigoureux Adonis Pioché, qui pioche soit en con soit en cul, mais de faire alors enculer le père, qui fout sa fille par le grand-père, qui encule un laquais, sur le cul duquel est assise Piochée, foutue par un autre laquais… Il a soin qu’on fasse suivre au vieux Piochard un régime échauffant, afin que ce vieux monstre tantôt enconne sa fille, tantôt encule son fils… Pendant cette scène, l’impuissant ribaud patine les tétons ou le conin du tendron ou bien la gamahuche. Il lui prend quelquefois des vertiges de faire enconner la mère, enculer Adonis par douze de ses amis, en une seule séance ; la jeune personne est alors nue en perspective, montrant le cul aux enculeurs et le con aux enconneurs. C’est le vieux Piochard qui insère les vits dans le con ou dans le cul.

» Tu vois par là quel parti nous pouvons tirer de ta femme lorsqu’une fois elle sera dépucelée : tu ne seras pas privé, tu mettras les vits dans le con et le cul de ta femme, tu en seras le maquereau, et quand elle sera bien élargie des deux trous, peut-être te permettra-t-on de la foutre en cul et en con.

Signé : L’Élargisseur.

« P. S. J’apprends par ma dernière visite faite à Piocheneuil que Piochette a effectivement eu la plus jolie petite fille ; on me l’a montrée, elle a trois ans ; mais ce qui est le comble du libertinage, le vieux Piocheneuil lui fait déjà téter son vit, pendant que la jeune mère lui chatouille les couilles. Je lui en demandai la raison : « Je profite du temps où l’enfant n’a pas encore de discernement ni de dégoût à me sucer… » Que dis-tu du vieux bougre ? »