La Tribune lyonnaise de janvier 1851 (p. 3).

Illusions !… blondes chimères,
Délice et tourment de nos jours…
Rêves aux splendeurs éphémères,
Espoirs dorés, fraîches amours…
Fleurs qui mourez à peine écloses,
Hélas ! dans vos métamorphoses,
Rien ne saurait vous arrêter…
L’homme que votre charme enivre,
Passe son printemps à vous suivre,
Son automne à vous regretter !…

Gabriel Monavon (Bourgoin.)