Histoire de la vie de Hiouen-Thsang et de ses voyages dans l’Inde/Appendice

慧立 Hui Li, 彦悰 Yan Cong
Traduction par Stanislas Julien.
(p. 463-472).

APPENDICE.


Hiouen-tshang a décrit cent trente-huit pays dans son Si-yu-ki (Mémoires sur les contrées de l’Ouest). Grâce aux deux expressions techniques que nous a fournies Tch’ang-choue (voy. la préface, p. xxxix), nous avons pu constater qu’il en a visité seulement cent dix, et que la connaissance des vingt-huit autres ne lui est parvenue que par la tradition orale ou écrite. Cette importante distinction nous a permis de dresser nettement la liste des uns et des autres. Elle fait disparaître, au premier coup d’œil, la confusion fâcheuse qui régnait dans le prétendu itinéraire de Hiouen-thsang (Fo-koue-ki, p. 375-399), le seul qu’on connût jusqu’à ce jour, et nous pouvons enfin suivre le voyageur depuis A-ki-ni (Kharachar), du moment qu’il aborde la frontière occidentale, jusqu’à Navapa, appelé par les anciens Chen-chen et Leou-lan (aujourd’hui le désert de Makhaï), qu’il traverse pour effectuer son retour en Chine.

PAYS DÉCRITS PAR HIOUEN-THSANG.
(Les noms en petites capitales désignent les pays que Hiouen-thsang n’a pas visités.)

1. A-ki-ni (Agni ? aujourd’hui Kharâchar).

2. Kio-tchi (Koutché),

3. Pa-lou-kia (Bâloukâ ? ).

4. Nou-tchi-kien (Noutchikan — Nouchidjan des Arabes).

5. Tche-chi (Tchadj — Sokasok des Arabes).

6. Feï-han.[1]

7. Sou-tou-li-se-na (Soutrisna — Osrouckna).

8. Sa-mo-kien (Samarkand).

19. Mi-mo-ho (Mimakha — Mei-morg).

10. Kie-pou-tan-na (Kapôtana). || 44. Kia-chi-mi-lo (Kaçmîra).

11. Kio-choang-ni-kia (Kouçannika – Kouchank).

12. Kho-han.

13. Pou-K’o (Boukhara).

14. Fa-ti (Vadi ?).

15. Ho-li-si-mi-kia (Kharismiga ?).

16. Kie-choang-na (Kaçana).

17. Tou-ho-lo (Toukhâra).

18. Tan-mi (Termed).

19. Tchi-’go-yen-na (Tchaghayana — Tchaghânyan[2]).

20. Ho-lou-mo (Kolom).

21. Chou-man (Chouman).

22. Kio-ho-yen-na (Kouvayana).

23. Hou-cha.

24. K’o-tou-lo (Khotl).

25. Keou-mi-t’o (Koumidha).

26. Fo-kia-lang (Baglan).

27. Ke-lou-si-min-kien (Krosminkan ?).

28. Ho-lin ou Ho-lan.

29. Fo-ko ou Fo-ko-lo (Bakra — Baktra — Balkh).

30. Jouï-mo-t’o (Djoumadha).

31. Hou-chi-kien (Houdjikan des Arabes).

32. Ta-li-kien (Talkan).

33. Kie-tchi (Gatchi).

34. Fa-yen-na (Bamian).

35. Kia-pi-che (Kapiça).

36. Lan-po (Lampâ — Lamghan).

37. Na-kie-lo-ho (Nagarahâra).

38. Kien-t’o-lo (Gândhâra).

39. Ou-tchang-na (Oudyâna).

40. Po-lo-lo (Bolor).

41. Ta-tcha-chi-lo (Takchaçilâ)

42. Seng-ho-pou-lo (Siñhapoura).

43. Ou-la-chi (Ouraçî).

44. Kia-chi-mi-lo (Kaçmîra).

45. Pan-nou-tso (Panoutcha — le Pountch des cartes).

46. Ko-lo-che-pou-lo (Râdjapoura).

47. Tse-kia (Tchéka).

48. Tchi-na-po-ti (Tchînapati).

49. Tche-lan-t’a-lo (Tchînapati).

50. Kio-lou-to (Kouloutu).

51. Che-to-t’ou-lou (Çatadrou).

52. Po-li-ye-ta-lo (Pâryâtra).

53. Mo-t’ou-lo (Mathourâ).

54. Sa-t’a-ni-chi-fa-lo (Sthânêçvara — Tanessar).

55. Sou-lou-k’in-na (Sroughna).

56. Mo-ti-pou-lo (Matipoura).

57. Po-lo-hi-mo-pou-lo (Brahmapoura).

58. Kiu-pi-choang-na (Gôviçana ?).

59. O-hi-tchi-ta-lo (Ahikchêtra).

60. Pi-lo-san-na (Vîraçaṇa ?).

61. Kie-pi-t’o (Kapitha).

62. Kie-jo-kio-che (Kanyâkoubdja).

63. ’O-yu-t’o (Ayôdhyâ).

64. ’O-ye-mou-k’ie (Hayamoukha).

65. Po-lo-ye-kia (Prayâga).

66. Kiao-chang-mi (Kâuçâmbhî).

67. Pi-so-kia (Vâisaka).

68. Chi-lo-fa-si-ti (Çrâvastî).

69. Kie-pi-lo-fa-sou-tou (Kapilavastou).

70. Lan-mo (Râmapoura).

71. Keou-chi-na-kie-lo (Kouçinagara).

72. Po-lo-ni-sse (Vârâṇaçî).

73. Tchen-tchou (Yôdhapati poura ou Yôdkarâdja poura).

74. Fei che-li (Vâiçâlî).

75. Fo-li-chi (Vrĭdji).

76. Ni-po-lo (Nipala — Népal). (De Fo-li-chi Hiouen-thsang retourne à Feï-che-li et arrive à Mo-kie-t’o.)

77. Mo-kie*t’o (Magadha).

78. I-lan-na-po-fa-to [Hiranyopar- vata).

79. Tchen-po [Tchampà).

80. Kie’ichou<}u]Li'X>(Kadjoûghira, vulgairement Kadjihghara).

81. Pun-na-fa-t’an-na (Poon^- varddhana — Bourdwan).

82. Kia-ma-leou-po (Kâmaroûpa).

83. San-mo-ta-tch*a (Samatata).

84. Tan-mo-li-ti (Tâmralipti).

85. Rie-lo-na-sou-fa-ia-na (Karna- souvarna), 86. Ou-tch*a (Ouda, Odra, Orissa) .

87. Kong-yu-t*o (Kônyôdha ?).

88. Kie-ling’kia (Kalinga), 89. Kiao-sa-lo (Kôsalaei Kôçala), 90. *Ân*ta-lo [Andhra].

91. To-na-kie-tse-kia (DAono/ra- fcA^/ra ?).

92. Tchou-li-ye (D/oor^, Tchôla).

93. Ta-lo-pi-tch’a (Drâvida).

94. Mo-lo-kiu-tch*a (Mdlakoûta). (De là Hioueîi’thsang retourne à Drâvida.)

95. Seng-kia-lo (Sihkala — Cey- lan).

96. Kong-kien-na-pou-lo (Kôhka- napoura).

97. Mo-ho-la-t’o (Mahàrâchtra).

98. Po-lou-kie-tch’e - p’o (Barou- katch’ét’a — Barygate — Ba- roche).

99. Ma-la-p*o (Afoira).

100. ’aichVli (i4fa/i).

101. Kic-tch*a (Kita.

102. Fa-la-pi (Vcdlabht).

103. ’0-nan-t*o-pou-lo (/Inoniapoura). lod. Sou-la-t’o (Souràchtra). io5. Kiu-tche-lo (Gourdjara — Ga- zarate).

106. Ou-che-yen-na (Oiu(^’((/a^ana — Odjein).

107. Tchi-ki-tho (Tchikdha - Tchi- «or).

108. Mo-hi-chi-fa-lo-pou-lo [Mahêç- varapouta — Makéçvar, My- sort), (Hiotten-thsang revient à Kiu- tche-lo (Gourdjara), Il reprend la route du Nord, traverse des plaines sauvages et des déserts pierreux. Après avoir fait dix- neuf cents li (cent quatre- vingt-dix lieues), il passe le Sindh (Indus) et arrive dans le royaume de Sin-tou (5in(2A).

109. Sin-tou (Sindh).

110. Meou-lo-san-pou-lou (Moula- s(unhourou ?^-Moultân).

111. Po-lo-fa-to (Panata) .

112.-tien-pVtchi-lo (Adfyamlfâ’ kila ?).

113. Lang-kie-lo (Langala). (Hiouen- thsang revient au nord de*0-tien-p*o-tchi-lo, et, après avoir fait sept cents li (soixante et dix lieues), arrive à Pi-to-chi-lo.) là- Po-LA-ssE (Parsa — la Perse).

115. Pi-to-chi-lo [Pitaçilâ).

116. *0-fan-tch*a (Avanda ou Avada).

117. Fa-la-na (Varana).

118. Tsao-kiu-t*o (Tsàukoûta).

119. Fo-li-chi - sa - t’ang - na (Vrldji- s(hâna). 30

120. ’An-ta-lo-po (Antarava — Endérab).

121. Kouo-si-to (Kkousta).

122. IIouo (Kho ?).

123. Moung-kieii (JfomJroA).

124. O-li-ni (Abu ou Ami).

125. Ko-LO-HOL* ( Ho-kott — Roh ?). (liiotteR’thsan^ part à l’est de Moung-kicn [Moankan)^ fran- cliil (le haiiU passages de mon- tagnes , traverse des vallées profondes, parcourt plusieurs villes et districts, et, après avoir fait environ trois cents li, il arrive au royaume de Ki-Ii- ssc-mo.)

126. ki-li-ssc-mo (IlWûhui).

127. Po-Li-iio ( Paliha — Priha ?]. (Hiouenthsang part à Test de Ki*li-sse-mo, franchit des mon- tagnes et des vallt^es, et, après avoir fait environ trois cents li , il arrive au royaume de Hi-mo- to-io (Himatala).

128. Hi-mo-to- lo (Himatola).

129. Po-to-tchoang-na { Pdiasthà-

130. In-pVkien [ImttJum].

131. Kiu-laii|[p4ui [Kwirma].

132. 1b-mi>«i-lbie4i (DJkflMiC&ifi ?).

133. Cri-kihii (5^ikiidk).

134. Chasg-mi [Çâmhkl).

135. KVpan-t*o (l[JkcM»2&a).

136. Ovfche [Ock^TaktSobymaij.

137. Kie-cha [Katk^kar],

138. Tche-keou-kia [Tckmkùukm— Ytïïkimtig — Ym^iumd),

139. Koa-sa-tan-na (£oaiana — Kkotan),

(De là HUmin- tkumg, après avoir fait environ ipiatre cents li , arrive an royaume de Toa- ho-lo ( Toukkâra ). Il «piitte le Tou-ko4og fait aix cents li à Teit et arrive à Tancien royaume de Tche-mo-t’o-na (Tc&oia- dktma ?). Partant de là an nord- est, il fait environ mille li et arrive à Tanden royaume de Na-fo-po (Nmopa) cpii cet le même que Leon-lan et Chen- chen , aujourd*hui le dtert de MaUiaî.

De là il revient en Chine.)

P. li, l. 11. Au lieu Svan, il faudrait lire Suwad, d’après M. Lassen (Ind Alt. t. II, p. 668).

P. 1, l. 20. L’appendice de géographie a été publié dans le présent volume, p. 353-461, sous le titre de Documents géographiques.

P. 19, l. 14. Cette manière de témoigner son respect s’appelle en sanskrit pradakchiṇa : « Reverential salutation, by circumambuiating a person or a object, keeping the right side towards them. » Wilson, Sanskrit dictionary, p. 571.

P. 21, l. 1. Lis. « trente fois. » Il est évident qu’en cet endroit du texte original, le vieillard ne compte que pour une fois l’aller et le retour. Plus haut, au contraire, le jeune barbare compte deux voyages pour cette double excursion. Si donc j’écris ici trente au lieu de quinze, c’est uniquement pour faire disparaître une contradiction qui n’est qu’apparente.

P. 44, l. 24. Au lieu de « la doctrine de l’éléphant, » il faut lire « la doctrine des images. »

« La durée de la loi d’un Bouddha, est-il dit dans le Lotus traduit par M. Burnouf (p. 365, l. 16), se divise en trois périodes. En ce qui touche le dernier Bouddha (Çâkyamouni), la période où régna la droite loi a commencé à sa mort et a duré cinq cents ans. La seconde période est celle de la loi des figures ou des images ; elle a duré mille ans. La troisième période est celle de la loi dernière ; elle doit durer trois mille ans. »

Le dictionnaire de Khang-hi, au mot siáng « éléphant, » nous apprend qu’après la fin de la droite loi, on commença à instruire les hommes à l’aide de figures ou d’images. De là vint que la doctrine bouddhique (fo-kiáo 佛教) fut appelée la loi des images, 象教 siáng-kiâo, expression qui est synonyme de siáng-kiáo 像教 (Peï-wen-yun-fou, liv. LXXVIII, fol. 77), par la raison qu’ici siáng « éléphant » et siáng « image, figure » ont exactement le même son et le même accent et s’emploient indifféremment l’un pour l’autre. Ce changement de signification, que rien n’indique dans les textes chinois, a été la première cause de l’erreur que j’ai corrigée ci-dessus. Une autre considération m’avait engagé à écrire « la doctrine de l’éléphant ; » c’est que les légendes et les monuments représentent constamment le Bôdhisattva (appelé plus tard le Bouddha) sous la forme d’un JEUNE ÉLÉPHANT, lorsqu’il descend du ciel des Touchitas pour s’incarner dans le sein de Mâyâ Dêvî. C’est ce qu’on peut voir à la fin du Lalitavistâra traduit par M. Foucault, dans la planche B qui, ainsi que les trois autres, fut dessinée pour lui à Calcutta, par son ami M. Théodore Pavie, aujourd’hui chargé du cours de langue et de littérature sanskrites au collège de France.

P. 46, l. 23. Par les Trois refuges (en sanskrit Triçaraṇa), on entend les trois formules suivantes : Bouddham çaraṇam gatekkâmi, Dharmam çaraṇam gatchhâmi, Sam̃gham çaranam gatchhâmi, c’est-à-dire : « Je cherche un refuge auprès du Bouddha, auprès de la Loi, auprès de l’Assemblée. » Burnouf, Introd. à l’hist. du Bouddhisme indien, p. 80, note 2.

Ibid. l. 23. Les cinq défenses sont les cinq commandements fondamentaux de la morale bouddhique ; savoir : 1° ne point tuer ; 2° ne point voler ; 3° ne point commettre d’adultère ; 4° ne point mentir ; 5° ne point boire de vin.

P. 65, l. 7. La dimension de cette dent, et surtout celle des deux dents citées p. 70 , l. 17, 90, est trop extraordinaire pour être exacte. Nous avons là toutefois conservé le sens littéral du texte.

P. 123, l. 3. Lis. Sammitîyas, J’écris ainsi ce nom d’après l’étymologie qu’en donne Hiouen-thsang : San (Sam « avec ») et miti « mesure. » Csoma de Körös écrit Sammatiyas.

Ibid. l. 7. M. Burnouf écrit Dêvasarman au lieu de Dêvaçarman.

P. 148, l. 29. M. Monier William (Dict. anglais-sanskrit, p. 690) désigne par les mots Mahâvrihi et Mahâçâli « a large or fragrant sort of rice. »

P. 155, l. 3. Lis. kalanta Vêṇouvana. Dans le Lalitavistâra (p. 417), on lit Kalantaka.

P. 163, l. 20. M. Lassen conseille de lire Poutchaka giri.

P. 211, l. 12. Le mot praçikchi, qui n’appartient pas au sanskrit classique, se trouve dans le dict. Fan’i-ming-i-tsi, l. IV, fol. 20, dans le sens d’instruction (kiao).

P. 346, l. 15. Il est évident que l’auteur a en en vue le petit pied des Thang, c’est-à-dire le pied des Hia (0m,355 environ). Hiouen-thsang avait donc 1m,785, soit 5 pieds 4 pouces 1/2. (Note de M. Natalis Rondot.)

P. 386, l. 20. Lis. la montagne de l’or. On l’appelait sans doute ainsi, parce qu’elle renfermait des mines d’or.

P. 433, l. 11. La leçon Po-lo-fa-to (Parvata) appartient à l’Histoire du voyage.

P. 452, l. 38. Lis. roi des guerriers. Si l’on traduisait l’expression tchen par combat, il faudrait, dans les deux cas, la faire répondre à Youddha.

[Pour éviter les répétitions, on a suivi l’ordre alphabétique.][3]
Ahikchétra Oudita
Adkyambâkda ? Oupâli
Balkh Outakhânda
Brahmâ Panasa — le Jacquier
djñâna Pâṇini
Drâvida Pan-nou-tso
Gândhâra Pâramitâ
Hayamoukha Parasmaipadam
Hindou-kouch Pradîparaçmi
Jaxartes (pron. la…) Sammitîyas
Kachemire Samparigraha
Kachghar Siñharaçmi
Kâuçâmbhi Takchaçilâ
Kioue-tchi (Koutché) Tchikitsâ
Kônyôdha ? Toukhâra
Môkcha Vakchou — Oxus
Môkchagoupta Yu-kia-sse-ti-lun
Nagarahâra Vallabhî
nikâya Viraçâṇa
Nyâya
CORRECTIONS.

P. 17, l. 16. Lis. des… au lieu de : les

P. 21, l. 17. Lis. vernie… au lieu de : vernissée

P. 34, l. 10. Lis. le… au lieu de : la

P. 42, l. 20. Lis. Grĭdhrakoûṭa

P. 44, l. 16. Lis. quoi… au lieu de : qui

Ibid. l. 22. Lis. je remplirai… au lieu de : je réparerai

P. 45, l. 17. Lis. la ville et la banlieue.

P. 45, l. 34. Lis. la doctrine des images.

P. 46, l. 3. Lis. Kanyâkoubdja

P. 50, l. 4. Lis. il pria Hiouen-thsang

Ibid. l. 39. Lis. assez savant ;

P. 52, l. 13. Lis. Djñânatchandra

P. 54, l. 8. Lis. franchir ceux-ci

Ibid. l. 21. Lis. des chevaux qui périrent

P. 57, l. 22. Lis. Pâramitâs

P. 58, l. 33. Lis. De là Hiouen-thsang

P. 59, l. 11. Lis. (Noutchikan — Nouchidjan des Arabes)

Ibid. l. 12. Lis. (Tchadj — Schasch des Arabes)

Ibid. l. 14. Lis. Sou-toU’U'Se-nalSoutrisna — Osromchna)

P. 61, l. 2. Lis. Kka-han :

Ibid. l. 27. Lis. il passa… et arriva

P. 63, l. 23. Lis. (de son neveu)

P. 66, l. 4. Lis. (trente pieds chinois)

Ibid. l. 17. Lis. (vingt pieds chinois)

P. 67, l. 21. Lis. (Dkannakâra)

P. 71, l. 27. Lis. or, comme ce religieux

P. 75, l. 29. Lis. Hiouen-thsang descendit

P. 77, l. 12. Lis. (Bouddôchṇîcha poura)

Ibid. l. 16. Lis. (Ouchṇîcha)

P. 82. l. 17. Lis. l’ombre reparut

P. 85, l. 18, p. 86, l. 14. Lis. Sou-p’o-fa-sou-tou

P. 86, l. 28. Lis. Si-yu-ki, livre ili, fol. 3.

P. 88, l. 19. Lis. [ciel des 7 nucAitas)

Ibid. l. 20. Lis. Ts’e-cki

P. 89, l. 14. Lis. keou-mo-lo-l<hto

P. 91, l. 24. Lis. {Pouiiyaçdlâ) au lieu do [Dkannaçâlti]

P. 92, l. 7. Lis. {Djctjrêndra vikdra]

P. 94, l. 9. Lis. Soa-kia’to-mi-to-lo

P. 96, l. 6. Lis. les sages

P. 97, l. 6. Lis. Tckandrabkdgâ

P. 101, l. 22. Lis. Douhçâsana

P. 103, l. 8. Lis. Pâryâtra

P. 104, l. 3. Lis. pouttra

P. 110. l. 30. Lis. Mahâ brahmâ

Ibid. l. 23. Lis. un chasse-mouche blanc

P. 115, l. 1. Lis. Ta-ching-tchouang-yen-king-lun

P. 123. l. 11. Lis. Gôpâla

P. 124, l. 2. Lis. Çrâvasti

Ibid. l. 90. Lis. Añgoulimâlîyas

P. 130, l. 37. Lis. tsing-pe

P. 131, l. 19. Lis. KérUika

P. 135, l. 3, 16 et 20. Lis. Vimokr kùtû

P. 139, l. 21. Lia. Bôdkiàmmm

P. 140, l. I. Lia. Nâirañdjanâ

Ibid. l. 14. Lis. Chiliocosmes

P. 144, l. 10. Lis. Hiouen-thsang suivit ses guides

Ibid. l. 17. Lis. Après que le Maître de la loi eut interrogé et comblé d’éloges Fa-thsang (Dharmakôcha ?), celui-ci fit apporter des siéges et le fit asseoir ainsi que les religieux.

P. 147, l. 8. Lis. les salua humblement et leur dit :

P. 152, l. 1. Lis. (Hêtouvidyâ) le Traité des causes,

Ibid. Ibidem. Lis. (Çâbdavidyâ), le Traité des mots.

P. 153, l. 37. Lis. Çâripouttra

Ibid. Ibidem. Lis. de Bôdhi

P. 154, l. 36. Lis. Pouṇḍarîka

Ibid. l. 27. Lis. pâramitâ

P. 155, l. 18. Lis. Vénottoana

P. 157, l. 4. Lis. de Bôdhi

P. 158, l. 13. Lis. Sthavira mkâya

P. 162, l. 20. Lis. dirent-ils

P. 165, l. 25. UB.[Çàlâioara)

P. 166, l. 11. Lis. Men-tse-kia (Maṇdaka ?).

Ibid. l. 12. Lis. Ounàdi

P. 178, l. 33. Lis. fût déjà

P. 187, l. 15. Lis. Andhra

P. 189. l. 1. Lis. (Djourya-Tchôla)

P. 193, l. 8. Lis. Mâlakoûṭa

P. 198, l. 10. Lis. la Perse

P. 201, l. l. Lis. Lankâvatâra

Ibid. l. 17. Lis. Kônkaṇa poura

P. 202, l. 13. Lis. Tâlas

Ibid. l. 25. Lis. équipées

P. 204, l. 1. Lis. tch’e-p’o

P. 205, l. 4. Lis. Il ne permettait pas de donner à boire aux éléphants et aux chevaux, avant d’avoir filtré l’eau, de peur de causer la mort aux insectes qui y vivent.

P. 207, l. 11. Lis. Oudjdjayana

Ibid. l. 20. Lis. Adhyambâkîla ?

P. 209, l. 8. Lis. Avaṇḍa

P. 210, l. 3. Lis. qui offraient les traces

P. 211, l. 1. Lis. Yôgâtchâryya

P. 212, l. 3. Lis. un fidèle appelé Ching-kiun-lun-sse (le maître des Çâstras, Djayasêna), qui

Ibid. l. 19. Lis. l’arithmétique (Ganaṇâvidyâ)

P. 214, l. 2. Lis. mâtra siddhi

P. 220. l. 3. Lis. (Kônyôdha ?)

Ibid. l. 29. Lis. ce roi parait être

P. 222, l. 16. Lis. (Djñânaprahha ?)

P. 223, l. 37. Lis. Je suis, répondit le Maître de la loi, votre humble serviteur

P. 224, l. 11. Lis. (Djoûḍiñgas ?)

P. 231, l. 22. Lis. contrarie

P. 235, l. 3. Lis. Çâçâñka

Ibid. l. 12. Lis. Kiaï-hien au lieu de Kiaï-ji

P. 248, l. 13. Lis. Môkchadêva

P. 253, l. 8 et p. 254, l. 7. Lis. (Dânasthâna)… au lieu de : (Dânamaṇḍala).

P. 259, l. 19. Lis. (Halâlî ?)

P. 260, l. 13. Lis. (Mahâtaras)

P. 261, l. 8. Lis. (Sinhaprahha)

P. 264, l. 20. Lis, (Kachemirt)

P. 265, l. 17. Lis. [Môkcha mahâ dânakâiyyam)

P. 268, l. 7. Us. Endérab

P. 271, l. 7. Lis. Çâmbki

P. 272, l. 29. Lis. l’autruche.

P. 280, l. 1. Lis. (Kachemire)

P. 289, l. 15. Lis. (BdiiloAa ?)

P. 293, l. 20. Lis. Prâghôdki giri

P. 304, l. 1. Lis. Tâla

P. 305, l. 14. Lis. cent trente-huit

P. 309, l. 13. Lis. Yen-thsong

P. 319, l. 16, 17. Lis. Djnânaprabha

P. 320, l. 18. Lis. Pradjnâdêva

P. 321, l. 11. Lis. çâstra

P. 338, l. 26. lÀi. vaçavartinas

P. 359, l. 13. Lis. Inde méridionale.

Ibid. l. 15. Lis. Âdhyambâkîla ?

P. 374, l. 7. Lis. Môkcha mahà parichad

Ibid. l. 33. Lis. quatre pouces (sic).

Ibid. l. 36. Lis. deux pouces (sic).

P. 381, l. 17. Lis. Ti-jeou

P. 383, l. 86. Lis. Ti-li

P. 384, l. 1. Lis. qu’il l’eût

P. 386, l. 7. Lis. qui, pour la plupart, suivent

P. 388, l. 24. Lis. Varâṇâçî

Ibid. l. 34. Lis. du Yo-kin-hiang

P. 391, l. 30. Lis. et une plante appelée Yo’kin-kiang (Curcuma).

P. 392, l. 20. Lis. (Môkcha mahâ parichad — La grande assemblée de la Délivrance).

Ibid. l. 25. Lis. qui, pour la plupart,

P. 393, l. 1. Lis. Kâpâladhârinas

P. 394, l. 25. Lis. (Râmapoura)

P. 395, l. 13. Lis. (Vâisâka)

P. 412, l. 7. Lis. de coquilles en spirale et de perles.

P. 418, l. 1. Lis. Gañgâ

P. 425, l. 4. Lis. Kia-chi-mi-lo

P. 426, l. 4. Lis. une plante appelée Yo-kin-kiang

Ibid. l. 18. Lis. du Bouddha et suivent

P. 426, l. 31. Lis. Hoa-ti-pou

P. 449, l. 14. Lis. Chang-tso-pou

P. 452, l. 24. Lis. honnêtes, mais les habitants

Ibid. l. 27. Lis. maître des guerriers

Ibid. l. 28. Lis. (Youddharâdjapoura ?)

P. 460, l. 17. Lis. Yerkiang — Yarkand

  1. Sous les Thang, ce pays s’appelait Pa-han-na et Ning-yonen. Suivant Klaproth (Mémoires relatifs à l’Asie. p. 82), il répondait au Kôkand actuel.
  2. Alex. Cunningham
  3. Dans les transcriptions chinoises, l’A initial doit être remplacé par ’O. Par exemple, il faut écrire ’O-yu-t’o, au lieu de A-yu-t’o, pour Ayôdhyâ.