...Les triangles acceptés par les architectes
du moyen âge comme générateurs de proportions sont: 1º le
triangle isocèle rectangle; 2º le triangle que nous appelons isocèle égyptien.
c'est-à-dire dont la base se divise en quatres parties et la verticale
tirée du milieu de la base au sommet en deux parties et demie; 3º le
triangle équilatéral. Il est évident (fig. 1) que tout édifice inscrit dans l'un
de ces trois triangles accusera tout d'abord une stabilité parfaite; que
toutes les fois que l'on pourra rappeler, par des points sensibles à l'œil,
l'inclinaison des lignes de ces triangles, on soumettra le tracé d'un édifice
aux conditions apparentes de stabilité. Si des portions de cercle inscrivent
ces triangles, les courbes données auront également une apparence
de stabilité. Ansi le triangle isocèle rectangle A donnera un
demi-cercle; le triangle isocèle B et le triangle équilatéral C donneront
des arcs brisés, improprement appelés ogives: courbes qui rappelleront
les proportions générales des édifices engendrés par chacun de ces triangles...
Cette œuvre est également dans le domaine public dans tous les pays pour lesquels le droit d’auteur a une durée de vie de 100 ans ou moins après la mort de l’auteur.
Cette œuvre est dans le domaine public aux États-Unis car elle a été publiée avant le 1er janvier 1929.
...Les triangles acceptés par les architectes du moyen âge comme générateurs de proportions sont: 1º le triangle isocèle rectangle; 2º le triangle que nous appelons isocèle <i>égyptien</i>. c'est-à-dire dont la base se divise en quatres partie