Le Passe-Temps du 01 juillet 1894 (p. 3).

Admirable gosier, nid d’où les mélodies ;
Légers oiseaux chanteurs déployant leur essor,
Bondissent en faisant sonner leurs ailes d’or,
On te croirait formé par la main des Génies…
Nulle fibre jamais, sous un archet vainqueur,
Idéal instrument, ne ravit mieux le cœur !…